Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Histoires érotiques gay French Twinks

Cendrillo

27 Novembre 2022, 19:00pm

Publié par Louis75A

Après la parodie gay de la belle au bois dormant, je me lance cette fois-ci dans l’adaptation d’un autre grand compte de Perrault : Cendrillon. Bien entendu, encore une fois, elle mettra en scène les magnifiques acteurs de French Twinks. J’espère que vous apprécierez. Bonne lecture !

Après la parodie gay de la belle au bois dormant, je me lance cette fois-ci dans l’adaptation d’un autre grand compte de Perrault : Cendrillon. Bien entendu, encore une fois, elle mettra en scène les magnifiques acteurs de French Twinks. J’espère que vous apprécierez. Bonne lecture !

Il était une fois, un gentilhomme qui épousa en secondes noces une femme, la plus hautaine, la plus orgueilleuse, la plus fière et la plus méchante qu'on eût jamais vue. Elle avait deux fils qui lui ressemblaient en toutes choses : Nathan, qui se rêvait déjà devenir le prince de Belair et Hugo, qu’elle avait eu d’un autre mariage avec un homme décédé depuis bien des années maintenant.
De son côté, le mari n'avait qu'un seul garçon, mais certainement le plus beau et le plus bon de tous : Yoann. Le jeune homme, âgé de 18 ans, était d'une douceur et d'une gentillesse sans égal ; il tenait cela de sa défunte mère, qui était certainement la meilleure personne au monde.

Une fois les noces passées, la belle-mère se révéla et fit éclater sa mauvaise humeur aux yeux de son nouveau mari. Elle ne put supporter les bonnes qualités de Yoann, ce jeune homme qui rendaient ses fils encore plus haïssables. Dès qu’elle en eut l’occasion, elle le chargea des plus viles occupations de la maison : nettoyer le sol, faire la cuisine, le ménage dans toutes les chambres, laver les vêtements… Le pauvre garçon n’avait pas une minute pour se reposer.
Pour compléter sa nouvelle vie de domestique, Yoann couchait tout en haut de la maison, dans un vieux grenier poussiéreux qu'il partageait avec quelques rongeurs. A l'inverse, ses demi-frères jouissaient de belles et luxueuses chambres, où ils avaient un mobilier et des vêtements des plus à la mode ainsi que des miroirs où ils pouvaient s'admirer depuis les pieds jusqu'à la tête.

Le beau Yoann souffrait avec une patience admirable. Il n'osait se plaindre de se mauvais traitement à son père, de peur qu’il le gronde, puisque sa femme le dominait totalement. Quand il avait quelques instants de répit, le garçon allait se mettre au coin de la cheminée, s’asseyant dans les cendres. C’est ainsi qu’il gagna le surnom de Cucendro. Hugo, le cadet qui n'était pas si malhonnête et désagréable que son aîné, l'appela finalement Cendrillo.
Cependant, bien que vêtu avec des haillons, Yoann pouvait se targuer d'être plus charmant que ses frères, quoique vêtus très magnifiquement.

--------------------------------------------------------------------------------

Il arriva que le fils du roi donnât un bal. A plus de 20 ans, le Prince Leray, Bastien de son prénom, avait maintenant l’âge de se marier et de perdre son pucelage. Son homosexualité et ses goûts prononcés pour la gent masculine ne faisaient plus aucun secret dans tout le royaume et il était maintenant entendu qu’il régnerait aux côtés d’un autre roi. Pour la descendance royal, l’un de ses frères se chargerait bien de donner naissance à un héritier légitime.
Pour lui trouver un compagnon digne de son nom, le roi et la reine prièrent toutes les personnes de qualité de se joindre à la fête. Les deux demi-frères de Yoann furent aussi conviés, car ils faisaient grande figure dans le royaume. Depuis qu’ils avaient reçu l’invitation, ils ne parlaient plus que de cela. Ainsi, ils étaient bien occupés à choisir les habits et les coiffures qui leur siéraient le mieux Nouvelle peine pour Cendrillo, car c'était lui qui repassait, préparait le linge de ses frères et qui devait donc supporter tous leurs caprices. Les deux garçons ne parlaient plus que de la manière dont ils s'habilleraient et séduiraient le Prince :

- Moi, dit Nathan, l'aîné, je mettrai ma chemise de soie bleu et blanche d’Italie, ornée de diamants jaunes avec des collants d’une teinte bleu ciel.

- Moi, dit Hugo, le cadet, je mettrai ma simple chemise rouge et bleu avec des collants gris ; mais en récompense de ma loyauté, je mettrai ma cap aux motifs d'or et de diamants, qui je suis convaincu, saura séduire le Prince. 

On envoya quérir la plus prestigieuse coiffeuse de la région, pour donner fier allure aux deux prétendants. Comme il avait très bon goût, ils demandèrent son avis à Cendrillo. Ce dernier fit pour le mieux et offrit même ses services pour régler les derniers détails dans leurs tenues et leurs coiffures ; ce qu'ils voulurent bien car il savait qu'il y excellait. En se faisant coiffer, ils lui demandèrent avec malveillance :

- Cendrillo, serais tu bien à ton aise si nous te proposions de nous accompagner au bal ?

- Hélas, mes frères, vous vous moquez de moi, ce n'est pas là très gentil.

- Tu as raison, on rirait bien si on voyait un Cucendro aller au bal avec ses vieux haillons de gueux, ria Nathan l’aîné.

Si Yoann n’avait pas était aussi bon, il aurait été aisé pour lui de les coiffer de travers ou bien de leur donner de mauvais conseils… Mais il était si gentil qu’il n’en fit rien. Nathan et Hugo furent près de deux jours sans manger, tant ils étaient impatients et remplis de joie. Ils passaient leur temps devant leur miroir à s’imaginer danser et surtout baiser avec le Prince Leray.

Enfin l'heureux jour arriva et ils partirent au château, laissant Cendrillo derrière eux. Le pauvre garçon les suivit du regard le plus longtemps qu'il le put et lorsqu'il ne les vit plus, il se mit à pleurer de toutes les larmes de son corps.

---------------------------------------------------------------------------------

Son parrain qui la vit tout en pleurs, lui demanda ce qu'il avait.

- Je voudrais bien... je voudrais bien... Il pleurait si fort qu'il ne put terminer sa phrase.

Son parrain, qui était aussi un magicien lui dit alors :

- Tu voudrais bien aller au bal, n'est-ce pas ?

- Hélas oui, dit Cendrillo en soupirant et en séchant ses larmes.

- Eh bien, si tu me promets d’être un bon garçon, je t'y ferai aller, reprit son parrain en lui souriant.

Il lui demanda de le mener à sa chambre en lui disant :

- Yoann, mon grand, va dans le jardin et apporte moi la meilleure de vos citrouilles.

Cendrillo s’empressa d’aller au potager pour cueillir la plus belle des citrouilles qu'il pût trouver. Il la porta à son parrain, en se demandant bien comment ce légume pourrait le faire aller au bal. Son parrain creusa la citrouille avec minutie, ne laissant que l'écorce. Une fois terminé, il baissa son pantalon et prit sa baguette en main. Bien qu’étonné par ce procédé, le garçon le laissa faire.
Une fois bien dur, le magicien récita une formule magique et posa son sexe sur le légume. Une petite goutte de liquide séminal se déposa à la surface et la citrouille qui fut aussitôt changée en un beau carrosse tout doré, sous les yeux admiratifs de son filleul.
Après quelques autres tours de magie, il fit apparaître de beaux chevaux blancs à partir de souris ainsi qu’un cocher qui n’était à la base qu’un énorme crapaud trônant fièrement au-dessus d’un nénuphar.

La parrain dit alors à Cendrillo :

- Ma foi, voilà de quoi aller au bal, n'es-tu pas bien loti ?

- Merci beaucoup mon parrain, mais comment pourrais je me rendre au bal avec mes vilains habits ? 

Le magicien reprit alors sa baguette magique en main et la stimula avec vigueur. Il demanda à Yoann de placer un bout de son vieux haillon au-dessus de son vit, ce qu’il fit immédiatement. Après une minute, le magicien se mit à haleter et sentant la potion magique venir, il récita une formule juste avant que son jus ne vienne se déposer sur les vêtements de Cendrillo. A cet instant, ces vieux haillons furent changés en des habits princiers. En se voyant dans le miroir, le garçon n’en revenait pas. Il portait de magnifiques collants blancs moulant à la perfection ses fines jambes et ses petites fesses. Son torse imberbe était mis en valeur par un belle chemise bleue, aux parures et aux dorures des plus glorieuses, donnant un air perçant à ses yeux marrons. Si sa silhouette longiligne était parfaitement mises en valeur, sa coiffure habillait de la plus belle des façons son minois adolescent. Du haut de son mètre soixante-cinq, il pouvait maintenant rêver d’avoir le monde à ses pieds, pieds dont le collant ne demandait plus qu’une belle paire de chaussures de vair pour compléter la tenue.

Quand Cendrillo fut ainsi paré de ses plus beaux habits, il monta dans le carrosse.
Alors qu’il s’apprêtait à partir, son parrain lui fit une dernière recommandation : le garçon devait impérativement partir avant minuit. En effet, s’il demeurait au bal un moment davantage, son carrosse redeviendrait citrouille, ses chevaux des souris, son cocher un crapaud et ses vieux habits reprendraient leur forme initial. Yoann promit à son parrain qu'il ne manquerait pas de sortir du bal avant minuit et il partit avec autant de joie qu’il avait pu avoir de la tristesse tout à l’heure.

-----------------------------------------------------------------------------

Le bal battait son plein quand Cendrillo arriva. Le fils du roi, qui fût averti qu'il venait d'arriver un beau prince qu’on ne connaissait point, s’empressa d’aller le recevoir.

Le Prince Bastien était un beau jeune homme, un très beau jeune homme. Du haut de son mètre quatre-vingt-dix, il en faisait tourner des têtes. Ses beaux yeux bleus, son corps fin et glabre lui donnait un charme auquel peu ne pouvait résister. Pour le bal, le Prince avait revêtu ses habits royaux, arborant fièrement les écussons de la famille Leray : un donjon à la tour arrondie, entouré par deux têtes de lions rondes dont la crinière avait été rasée, symbolisant la puissance des mâles de la famille. La puissance, on pouvait aussi la deviner au travers du collant blanc du Prince, puisque son sexe, à la dimension impressionnante, était bien visible aux yeux de tous. En effet, n’ayant pu s’en servir depuis un bon moment, il arborait une fière érection que Yoann eut tout de suite envie de toucher.

Le prince Leray accueilli son invité mystère avec enthousiasme. Il lui donna la main à la descente du carrosse, et il ne tarda pas de le mener dans la salle où avait lieu la réception. A leur arrivée, un grand silence ce fit et on cessa même de danser tant l’assistance était attentive à contempler ce couple que l’on voyait déjà comme le couple royal. On n'entendait des chuchotements disant :

- Oh mais qui est ce beau jeune homme ?

La reine même, d’un âge avancé, se laissa distraire par sa beauté en ne manquant pas de le faire remarquer à son mari :

- Il y a bien longtemps que je n’avais pas vu pareil beauté !

Tous les prétendants étaient attentifs à la réaction du Prince Leray, tout en considérant Yoann comme leur plus grand rival. Ils le détaillaient de la tête au pied, détaillant sa coiffure et ses habits, pour en demander des semblables à leurs laquais. Bastien, qui n’avait d’yeux que pour lui, le plaça à ses côtés et l’emmena danser au milieu de la piste. Cendrillo dansa avec tant de grâce qu'on l'admira encore davantage. Après cet interlude musical, on apporta une belle collation pour rassasier les estomacs. Trop occupé à fantasmer sur le bel inconnu, le jeune prince ne mangea point. Cendrillo en profita alors pour rejoindre ses demi-frères. Paré de la sorte, Nathan et Hugo ne reconnurent pas leur domestique. Les deux jeunes hommes se demandèrent pourquoi le héros de la soirée vint leur donner les oranges et les citrons que le prince lui avait offerts.

Ils furent très vite déranger par le Prince Leray dont le regard n’avait pas cesser de mater le petit cul de Yoann, si bien moulé dans son collant blanc. Le sien devenait clairement trop étroit pour son excitation et on pouvait même voir transparaître une goutte de son désir sexuel au travers du tissu.
Le fils du roi l’invita à nouveau à danser et ils étaient maintenant si proche que son sexe pouvait se frotter à celui de Yoann dont la dimension avait plus que doublé. La tension sexuelle qui régnait était palpables et, pour ne pas choquer les convives, le roi et la reine prièrent leurs fils d’aller se soulager et de se changer avant de revenir. En effet, son collant blanc était maintenant recouvert de mouilles au niveau de son entrejambe et il n’allait plus tarder à éjaculer.

Avant de se retirer, il alla s’excuser auprès de Yoann :

- Je vous prie de m’excuser mon cher mais je dois aller m’enquérir d’une tâche pour ne pas mettre mes parents dans l’embarras.

- Je comprends, dis Cendrillo en détaillant l’entrejambe du Prince. Mais peut-être que je pourrais vous aider dans votre besogne ?

Surpris par la proposition de son convive, Bastien répondit :

- J’en serais ravis ! Je vous prie donc de me suivre.

- Très bien.

- Enfin, passez plutôt devant que je puisse encore admirer votre magnifique fessier !

Cendrillo et le Prince Leray s’isolèrent donc dans une chambre et là-bas Yoann put enfin poser ses mains sur l’immense chibre royal, qu’il caressa avec beaucoup de vigueur, tout en osant déposer un baiser sur ses lèvres de Bastien.
Pour le Prince, s’en était déjà trop. Lui qui n’avait pas pu éjaculer depuis plus d’un mois, explosa tout son foutre dans sa paire de collant. Il y en avait tellement que cela dégoulinait sur le tissu le long de ses jambes. Tout en l’embrassant, Yoann compris ce qu’il se passait et, pris d’une grande audace, il s’agenouilla pour baisser le collant du Prince et mettre sa grosse queue en bouche, afin d’avaler le nectar royal qui perlait encore sur son gland.

Mais le jeune homme ne s’arrêta pas là. Trop excité, il se mit à sucer Bastien pour que ce dernier lui donne une nouvelle ration de ce nectar. Le fils du roi, dont la puissance du désir était resté intact, se laissa faire avec joie. Il prit même la tête de son hôte pour l’encourager dans sa pratique. Lui qui vivait là sa première fellation était aux anges :

- Par tous les dieux, mon cher, vos lèvres sur mon chibre sont une divine sensation !

Yoann s’arrêta pour remercier le Prince mais ce dernier lui pria de continuer :

- Je vous en prie, ne vous arrêter pas, mettez encore mon sexe dans votre bouche ! Oh oui voilà comme ça !

S’il n’avait jamais sucé, le jeune Cendrillo donna beaucoup de plaisir au fils du Roi avec sa bouche. Il arriva presque à mettre l’intégralité des 22 cm de ce bâton de chair en lui. Il variait beaucoup les mouvements, suçant le gland et branlant la base de ce chibre avec talent, avant de le parcourir de sa langue avec beaucoup de gourmandises, pour finalement le reprendre au plus profond de sa gorge. Cette fellation qui n’avait rien d’une première allait, sans aucun doute, faire venir le Prince dans peu de temps.

Malheureusement, c’est à cet instant que Cendrillo entendit sonner onze heures trois quarts. Il stoppa immédiatement sa fellation et, après avoir fait une révérence au Prince, il s'en alla le plus vite qu'il put. Dès qu'il fut arrivée, il alla trouver son parrain pour le remercier, en n’omettant pas de lui raconter tous les moindres détails de la soirée. Il lui fit part de son envie de retourner le lendemain au bal, parce qu’il n’avait pas pu terminer ce qu’il avait entreprit avec le Prince.
Alors qu’il était occupé à raconter à son parrain tout ce qui s'était passé au bal, ses deux demi-frères frappèrent à la porte. Cendrillo s’empressa d’aller leur ouvrir :

- Eh bien, que vous avez été longs à revenir ! » leur dit-il en bâillant faussement et en se frottant les yeux comme s’il ne faisait que de se réveiller.

Car non, trop excité, Yoann n'avait pas eu envie de dormir depuis son retour. Il écouta attentivement ce que Nathan et Hugo avait à lui dire :

- Si tu étais venue au bal, lui dit Hugo, tu ne te serais pas ennuyé une seconde. Il y est venu un Prince, certainement le plus beau que l’on ait vu. Il nous a d’ailleurs offert ces citrons et ces oranges en tendant le panier à Cendrillo.

Le jeune homme eut un pincement au cœur en repensant au Prince Leray. Il leur demanda le nom de ce mystérieux inconnu mais Nathan lui répondit qu'on ne la connaissait pas et que le fils du roi en était fort en peine de ne pas savoir de qui il s’agissait. Puis Hugo reprit :

- Dans tous les cas, cet inconnu a donné au Prince une forte érection et un magnifique éjaculât. Il parait même qu’il lui aurait donné une fellation.

- J’aurai aimé le sucer reprit Nathan rêveur !

- Cela ne vous a pas empêcher de vous faire besogner par le premier venu reprit son frère.

La conversation ne s’éternisa pas et tout le monde alla se coucher en pensant déjà au bal qui se tiendrait le lendemain. Cette fois-ci, le Prince Leray ne comptait pas laissé son bien-aimé s’enfuir sans avoir pu lui besogner les fesses. Mais encore une fois, alors qu’il se faisait sucer par le bel inconnu, ce dernier pris la fuite en entendant minuit sonner.

N'ayant plus de ses nouvelles et plongé dans un grand désespoir depuis cette soirée, le fils du roi décida de reprendre les choses en main. Il fit publier au son de sa trompe qu'il besognerait et épouserait celui dont la bouche procurerait autant de plaisir à son chibre.
Ainsi, il commença à se faire sucer par tous les jeunes ducs et jeunes comptes de la cour mais aucun d’entre eux ne lui procurèrent autant de plaisir qu’il n’en avait ressenti avec Yoann.
Rapidement vint le jour ou le Prince se rendit à la demeure de Cendrillo pour venir se faire sucer par ses deux demi-frères, parés de leurs plus beaux habits pour l’occasion.

Nathan, convaincu qu’il allait y parvenir, ayant déjà sucé avec succès de nombreux chibres de la cour, s’employa avec tout son talent. Il était doué, cela ne faisait aucun doute. D’ailleurs Bastien qui savait déjà qu’il n’était pas celui qu’il recherchait le laissa poursuivre, s’employant même à lui besogner la bouche avec envie, enfonçant son chibre au plus profond de sa gorge.
Avec son sourire ravageur et son regard pétillant, Nathan avait de quoi le faire craquer. Son corps longiligne n’en était que très désirable. Le garçon prenait beaucoup de plaisir à sucer le Prince et l’érection qui déformait son collant en était la preuve. Avec une dernière gorge profonde, il finit par le faire éjaculer et ne manqua de tout avaler, fier d’ajouter le nectar royal aux nombreux nectars qu’il avait récolté dans son estomac. Le jeune homme était convaincu qu’après une telle performance, il serait choisi. D’ailleurs, il n’était pas le seul puisqu’Hugo et Cendrillo qui avaient assisté à la scène, l’un de manière visible et l’autre dissimulé derrière la porte, avaient bien vu le plaisir qu’avait pris le Prince à se faire sucer de la sorte. Pourtant le verdict fut clair et net :

- Je vous remercie pour votre délicieuse fellation mon cher…  Mais je suis désolé, ce n’est pas vous que je recherche.

- Mais vous avez adoré mon Prince, peut-être que celui que vous recherchez n’existe pas, je pourrais très bien le remplacer.

- C’est bien aimable à vous et même s’il est vrai que vous êtes doué, votre réputation vous précède. La famille Leray ne souhaite pas d’un Roi dont la bouche et les fesses ont déjà servis à toute la cours !

La réponse tranchante fut accueilli avec stupeur et, vexé, le jeune Nathan quitta la pièce la tête haute. Ce fut maintenant au tour de son frère de se mettre à l’ouvrage. A son tour, il prodigua une divine fellation au Prince Leray. Celui-ci, y prenant du plaisir, souhaita également aller jusqu’au bout, bien que sachant parfaitement qu’il ne s’agissait pas du garçon qu’il recherchait.
Il le laissa pourtant le sucer, admirant son ravissant minois à l’action. Sa bouche et sa langue étaient déjà rompues à l’exercice et il n’eut aucun mal à rester bien dur. Le fils du Roi se fit sucer de la sorte pendant dix bonnes minutes avant de se sentir venir et de tapisser le visage du garçon de toute la semence qu’il lui restait. A nouveau, il remercia son partenaire pour ce délicieux moment avant de lui annoncer le verdict :

- Merci mon cher Hugo. Bien que votre plastique est très attrayante et que votre don pour la sucerie ne souffle d'aucune contestation, je ne pourrais y donner suite car ce n’est pas vous que je recherche.

- Je comprends mon Prince et j’espère que vous parviendrez à le retrouver, dit Hugo sans arrière-pensée.

- Merci et je puis vous dire que vous avez fait forte impression auprès de mon frère cadet, le Prince Noah. Il réclame votre chibre avec insistance.

- C’est vrai ? s’exclama Hugo

- Oui, et il souhaiterait lui aussi que vous puissiez lui besogner le cul. Votre vit lui fait très envie.

En effet, lors du bal de la veille, Hugo était parvenu à séduire le frère de Bastien, le Prince Noah, âgé de 18 ans. S’il ne ressemblait pas beaucoup à son aîné, il possédait lui aussi un attribut de grande dimension, bien mis en valeur par ses vêtements princiers. Sa beauté était aussi à souligner. Avec son corps finement musclé, son sourire coquin, ses yeux verts et son visage angélique, il avait tout de suite séduit Hugo, ce beau brun ténébreux qui le hantait à présent.
Après avoir remplis à leurs obligations, à savoir manger et danser, les deux garçons avaient passé une bonne partie de la soirée à l’écart de la foule, à s’embrasser, à se caresser et à se sucer la verge 
Mais là n'est pas notre histoire !

Alors que le Prince Leray allait quitter la demeure, après avoir salué Nathan, Hugo et leur mère, Cendrillo osa ouvrir la porte derrière laquelle il était dissimulé depuis le début. Il s’exclama :

- Mon Prince, laissez moi m’occuper de votre chibre avec ma bouche !

Ses frères se mirent à rire et à se moquer de lui. Pourtant, le Prince tombant sous son charme malgré les haillons qu’il portait s’empressa de dire :

- Eh bien, après tout, je ne vois pas pourquoi je refuserai, votre visage, bien qu’un peu crasseux me rappelle quelqu’un.

- Ne perdez pas votre temps avec lui, reprit la belle-mère

- Laissez nous s’il vous plait, c’est moi qui décide et je décide que ce garçon aura sa chance.

A ces mots, le Prince baissa à nouveau ses collants blancs et s’avança vers Cendrillo qui prit immédiatement son vit royal entre ses mains. Il commença par le masturber adroitement pour le faire durcir un peu, puis une fois à demi bandé, il le mit en bouche. Il ne fallut que cinq secondes pour que le fils du Roi ne reconnaisse cette bouche et cette langue qui l’avaient transportées par deux fois au paradis. Il s’exclama alors à haute voix :

- C’est lui ! Fichtre, c’est lui le mystérieux inconnu !

A ces mots, arriva la parrain qui, ayant donné un coup de sa « baguette magique » sur les habits de Cendrillo, les transforma en ceux qu’il avait porté lors des deux bals précédents. Nathan et Hugo qui avaient accouru en entendant le Prince furent stupéfaits en voyant leur demi-frère vêtu de la sorte. Il le reconnurent tout de suite et ils se jetèrent à ses pieds pour lui demander pardon de tous leurs mauvais traitements. Cendrillo les releva, et leur dit avec sa grande bonté, qu'il leur pardonnait de bon cœur. Ils s’embrassèrent et le Prince décréta sur le champ qu’il allait épouser Yoann dans les jours qui suivraient et qu’à partir de ce moment, il vivrait avec lui au château.

Pour fêter cela, le parrain offrit un dernier cadeau à son filleul. A l’aide d’une formule magique, il toucha les couilles du Prince Leray afin de les remplir à ras bord. Bien que vidé par deux fois, ce dernier se trouva donc à nouveau dans un incroyable état d’excitation. Tout le monde laissa les deux amants seuls afin qu’ils vivent l’instant qu’ils avaient rêvé depuis bien longtemps : perdre leur pucelage.

Les chibres étaient à nouveau bien tendus dans les collants. Bientôt, les mains vinrent les caresser pendant que les langues s’entrelaçaient dans un ballet des plus endiablé. Après de nombreux baisés passionnés, les vêtements tombèrent au sol et les deux garçons se retrouvèrent nu dans la pièce principal de la demeure. Leurs corps fins et imberbes étaient bouillonnant de désir et les sexes qui pointaient fièrement vers le haut en était la plus belle preuve.
Yoann ne put attendre plus longtemps et s’agenouilla pour prendre le sexe du Prince en bouche, se débrouillant pour faire encore mieux que la dernière fois. Il le suça de toutes les manières possibles et imaginables jusqu’à ce que Bastien commence à sentir sa semence remonter. Il ne lui laissa pas l’occasion de continuer et lui supplia :

- S’il vous plait mon cher, offrez moi votre cul à besogner. Je le désir avec tant d’envie

- Oh mon Prince, il est à vous, je n’attendais que ça.

Bastien positionna alors Yoann debout contre la table, son torse étant plaqué sur le bois. A son tour il s’agenouilla et il mit sa langue contre la petite rosette de son amant. A 18 ans, Cendrillo était bien entendu encore vierge et son cul, bien que très serré, réagit plus que positivement à ces premiers coups de langue. Après 10 minutes de préparation où le fils du Roi humidifia et doigta la grotte de son partenaire, il finit par se redresser et positionner son chibre contre l’anus qui s’était dilaté sous l’effet de son traitement.

Le Prince commença par faire rentrer son énorme gland, s’arrêtant plusieurs fois quelques instants pour laisser son amant s’y habituer. Il répéta l’opération centimètre après centimètre, jusqu’à ce que ses couilles viennent se plaquer contre les fesses de Cendrillo. Le jeune homme, bien qu’ayant ressenti une petite douleur, s’y habitua avec une facilité déconcertante, preuve qu’il n’attendait plus que ça. Quant à Bastien, il dut se retenir de ne pas venir immédiatement, tant son chibre était à l’étroit dans cet anus encore vierge il y a quelques minutes. Après quelques secondes sans bouger, il commença à remuer son bassin, faisant sortir une petite partie de son sexe avant de le faire rentrer à nouveau. Il répéta l’opération plusieurs fois. Plus le temps passait et plus son sexe coulissait, si bien qu’après deux minutes, il en sortait l’intégralité avant de replonger entièrement et rapidement en Yoann.
La sodomie devenait puissante et virile et le Prince, tenant son partenaire par les hanches, se mit à le pilonner avec un désir profond, comme son enculade. Les bruits de couilles claquant sur le cul de Cendrillo se faisait bien entendre et il n’était dissimulé que pas les gémissements aigus du garçon, qui appréciait fortement qu’on le baise de la sorte.

D’ailleurs, les gémissements de Yoann alertèrent tout le voisinage. Le garçon voulait que le monde entier sache qu’il se faisait baiser par le fils du roi :

- Oh mon Prince, oh oui, besognez-moi ! Oh oui plus fort, humm !

- Oh mon cher amant, vos fesses sont un délice pour mon chibre.

- Encore, encore, humm !

Les amants changèrent plusieurs fois de positions : à quatre pattes, allongés l’un en face de l’autre ou encore dos à dos… Avec son physique de crevette, Yoann finit même par se faire empaler sur la queue de Bastien, qui, debout, le portait à bout de bras en le faisant aller et venir sur son chibre à la seul force de ses muscles. C’est d’ailleurs dans cette position que Cendrillo finit par éjaculer, sans même se toucher. Il venait découvrir un aspect de sa sexualité dont il ne pourrait se séparer : il aimait jouir par le cul.

Le Prince Leray continua à le prendre pendant quelques minutes avant de sentir son nectar royal remonter du plus profond de ses couilles. Il sortit alors son vit des fesses de son amant pour le faire accroupir devant lui. Voyant le fils du Roi se branler au-dessus de son visage, Cendrillo ouvrit grand la bouche en tirant la langue, n’attendant plus que de se faire asperger par ce jus qu’il aimait tant. Quelques secondes plus tard, le souffle du Prince s’accéléra et il se mit à gémir :

- Oh oui, oh oui ça vient !

Quelques secondes plus tard, le visage de Yoann fut aspergé d’un torrent de sperme. Il en avala une bonne partie mais ses joues, ses yeux, son nez, ses cheveux furent tapisser en blanc en quelques secondes. Une fois son amant totalement vidé, Cendrillo reprit ce sexe en bouche pour bien le nettoyer.

Après avoir retrouvé leurs esprits, les deux jeunes amoureux se rhabillèrent et regagnèrent le palais qui était maintenant leur demeure à tous les deux.
Bien qu’ayant sa nouvelle vie, Cendrillo, dans sa grande bonté, n’oublia pas ses demi-frères. Il les invita à venir vivre avec lui au château.
Hugo ne perdit pas beaucoup de temps et se retrouva très vite dans la chambre du Prince Noah qu’il épousa peu de temps après que le Cendrillo épousa le Prince Bastien. Quant à Nathan, il n’épousa personne et, jouissant de son nouveau statut, il put mettre dans son lit tous les amants qu’il voulait avoir, sans se poser la moindre question.

Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’amants.

Fin

 

Accéder à French Twinks
Commenter cet article