Alerte à Maliboules

Nouveau récit French Twinks avec les beaux et talentueux Doryann Marguet, Corentin Tessier et Paul Delay. Ce texte m’a été inspiré par le dessin d’un indonésien fan de Doryann (Made) ainsi que d’une célèbre série des années 90. Si vous aimez mes textes n’hésitez pas à commenter et à partager. Merci à vous et bonne lecture !

« Le soleil au zénith, vingt ans, dix-huit, dix-sept ans à la limite, je ressuscite !
Sea sex and sun. Toi mon petit, tu es de la dynamite ! »

Le soleil, la plage, les corps dénudés, les gouttes d’eaux venant ruisseler sur les torses lisses des beaux garçons... L’été était sans conteste la saison la plus chaude de l’année, dans tous les sens du terme.

A ce titre, la plage du centenaire à Nice était un terrain de jeu incroyable. Les mecs étaient nombreux à venir afficher leurs corps finement musclés, leurs abdominaux, leur peau au teint hâlé. Certains, malheureusement pas toujours les plus beaux, n’hésitaient pas non plus à exhiber fièrement leurs attributs virils, bien moulés dans un slip ou boxer de bain en lycra… Rien n’était laissé au hasard ! A ce petit jeu de séduction, les filles n’étaient pas en reste, bien au contraire. Elles faisaient également tout pour se faire remarquer, mettant en valeur leur poitrine et leur fesses au travers de bikinis toujours plus courts. Ainsi dans cette ambiance de drague permanente, de nombreux couples se formaient, souvent pour le coup d’un soir mais parfois pour bien plus encore…

Du haut de son perchoir, vêtu uniquement de son short de bain rouge, Doryann surveillait assidûment les frasques des baigneurs et des plagistes. Avec ses jumelles et son sifflets, il faisait régner l’ordre sur la plage. Mais il ne faisait pas que cela... En effet, le jeune homme aimait aussi admirer les beaux corps et les beaux visages déambuler sur son territoire de chasse. Mangeant à tous les râteliers, ses yeux étaient donc doublement sollicités. Mais en ce moment, le bel homme était beaucoup plus branché par les jeunes minets que par les bimbos affriolantes. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il avait tous les atouts pour les attirer dans son lit !

En effet, à un peu plus de 30 ans, Doryann avait un corps viril et bien musclé… De quoi faire pâlir les beaux garçons avides de vrais mecs ! Il n’avait absolument rien à envié à Mitch Buchannon, compère d’une célèbre série télévisée des années 1990. Outre sa beauté herculéenne, il avait un charisme fou conjugué à une fougue à toute épreuve. D’ailleurs, il ne manquait jamais une occasion de se faire plaisir quand il en avait l’opportunité. S’il avait choisi ce métier, ce n’était pas seulement parce qu’il avait une âme de héro… Oh que non ! A ce jour, il avait ramené bien plus de beaux garçons dans sa cabane qu’il n’en avait sauvé de la noyade. Et s’il était un expert en bouche à bouche, il l’était encore bien plus dans l’art du bouche à bite ou du bite à cul.

Aujourd’hui, la journée avait été plutôt calme. Il était déjà plus de 19h00 et Doryann s’apprêtait à quitter son poste de surveillance. Il n’avait pas eu grand-chose à faire mis à part rappeler quelques gamins à l’ordre. Il faut dire, qu’en cette fin de mois d’août, il y avait moins de monde à venir profiter du soleil et de la mer. Une journée ennuyeuse en somme, d’autant plus qu’il n’avait eu personne à se mettre sous la dent. Ses couilles étaient donc à nouveau en pleine ébullition et totalement en alerte.

Elle était déjà loin la journée d’hier ou il avait pu se faire sucer goulûment et profiter des beaux petits culs de ce jeune couple breton qu’il n’avait eu aucun mal à repérer. Il faut dire qu’il avait tout de suite remarqué leur petit manège sur la plage. Ethan et Arthur n’avaient pas eu de mal non plus à lui foutre une trique d’enfer en s’embrassant ouvertement et exhibant leurs belles bosses bien moulées au travers de leurs maillots de bains. D’ailleurs trop expressifs et exhibitionnistes, Doryann avait dû aller les rappeler à l’ordre et calmer leurs ardeurs. Ce qu’il ne savait pas, à ce moment précis, c’est que les deux minet n’attendaient que ça pour qu’ils puissent s’amuser avec lui.

Repenser à cette aventure, et à la baise torride qui s’en était suivi, avait raviver une belle érection dans son short de bain, sans qu’il ne puisse la soulager avec un quelconque beau gosse. Il commençait à se résigner sur le fait que sa main gauche serait sa meilleure arme de la soirée. Mais alors qu’il s’apprêtait à quitter son poste, il le vit arriver. Du haut de son presque mètre quatre-vingts, avec son corps fin et lisse, il lui fit tout de suite un effet monstre. Ce beau garçon avait un corps et des fesses magnifiques, bien mise en valeur dans son shorty en lycra noir.

A présent allongé sur sa serviette de plage, le jeune homme venait profiter des derniers rayons de soleil de la journée. Couché sur le dos, un bouquin à la main, il exhibait fièrement deux beaux globes musclés à faire pâlir de désir quiconque appréciait la gente masculine. Outre ses fesses et son corps de mannequin, le garçon avait également un visage magnifique, orné de beaux yeux marrons et avec une coupe de cheveux qui lui allait à ravir… En résumé, il était juste somptueux !

Dans sa cabane, Doryann ne perdait pas une minute de ce spectacle. Si d’une main il tenait sa paire de jumelle, l’autre s’occupait déjà d’une toute autre paire qui bouillonnait à l’intérieur de son short de bain. Bientôt, le sauveteur commença à se masturber, oubliant totalement la foule de gens qui quittait la plage et qui pouvait aisément comprendre à quelle activité il s’adonnait.

S’il prenait plaisir à se branler en le regardant, c’était loin d’être suffisant. Il attendit encore quelques minutes la fin de son service pour passer à l’action.
Il fut d’ailleurs dérangé plus d’une fois par une femme qui semblait vouloir le ramener dans son lit. Ayant des faux airs de Pamela Anderson, la pauvre blonde croyait que c’était elle qui mettait Doryann dans cet état. En le voyant se toucher la bite du haut de son abri, elle commença à se faire des films. Malheureusement pour elle, le bel homme n’en avait que faire de ses attributs et lui fit comprendre qu’elle n’avait aucune chance. Une fois débarrassé d’elle, le sauveteur en mer décida de passer à l’action. Il se leva et se dirigea vers sa nouvelle proie avec une seule idée en tête… Baiser avec lui toute la nuit !

Plongé dans sa lecture, Corentin n’avait pas remarqué la présence du maître-nageur à ses côtés, qui pourtant le dévisageait avec insistance. Il fallut que ce dernier se racle la gorge pour signaler sa présence afin que le garçon redresse sa tête. Une fois qu’il eut captivé son attention, Doryann s’adressa à lui avec un grand sourire :

- Bonjour jeune homme

Bien qu’intrigué par sa présence, Corentin ne manqua pas de lui répondre poliment :

- Bonjour Monsieur

- Je voulais juste vous prévenir qu’à partir de maintenant la baignade était sans surveillance. Donc faites attention si vous voulez piquer une tête, il y a pas mal de courant aujourd’hui.

- Merci Monsieur, je ferais attention. Je sais que je n’aurai pas un beau sauveteur pour venir me sortir de l’eau…

A ces paroles, Doryann se mit à sourire de plus belle. Non pas parce qu’il avait été chaleureusement complimenté… Non, juste parce qu’il savait qu’à cet instant c’était gagné… Ce soir il baiserait et jouirait à outrance dans ce petit cul qui le faisait tant bander. Bien que surpris pas l’audace de son interlocuteur, qu’il imaginait timide et renfermé sur lui-même, il continua à donner le change comme si de rien n’était :

- Merci, tu vas me faire rougir…

- Corentin, je m’appelle Corentin

- Enchanté Corentin, moi c’est Doryann.

- Enchanté Doryann, ravi de connaître celui qui ne viendra pas me sauver ce soir si jamais le courant venait à m’emporter…

- Ah mais ne te méprend pas ! Si j’ai dit que la baignade serait sans surveillance, je n’ai jamais dit que les beaux garçons le seraient…

- Dois-je comprendre que j’ai le droit à mon sauveteur attitré pour la soirée ?

- Oui et je serais ravi de venir à ta rescousse, surtout si cela me donne l’occasion de te faire du bouche à bouche.

A présent que la glace était plus que brisée, sur une proposition de Doryann, les deux garçons partirent se baigner ensemble. En cette fin de journée, la mer méditerranée avait été désertée par la plupart des vacanciers et les deux garçons purent nager tranquillement. S’ils avaient déjà compris là où ça les mènerait, ils prirent le temps de se détendre et de s’amuser. Après quelques longueurs, ils chahutèrent ensemble, comme deux grands enfants, s’amusant à s’envoyer de l’eau ou encore à essayer de se couler.
A ce petit jeu-là, Doryann gagna haut la main. Il faut dire que sa musculature et son corps viril contrastait fortement avec celui de Corentin, bien plus fin et lisse. De loin, on aurait aisément pu penser voir un père jouant avec son fils adolescent. Mais très vite, las de se faire malmener de la sorte, le jeu pris une toute autre tournure, bien loin de la complicité familiale évoquée juste avant.

En effet, afin de déstabiliser son nouvel ami, Corentin commença à le chauffer... D’abord subtilement, il se mit à effleurer son sexe à deux reprises. Puis ne voyant aucune réaction, il continua ses manœuvres avec de plus en plus d’insistance. Mais voyant que cela ne suffisait pas encore, il entreprit les grands moyens. Ainsi, alors qu’il allait à nouveau être coulé, il plaqua sa main sur l’entrejambe de Doryann et caressa ouvertement son sexe à demi-bandé. Inutile de vous dire que cette fois-ci, l’homme se retrouva totalement déstabilisé. En quelques secondes, il perdit l’avantage qu’il avait sur son jeune ami et se retrouva en position de faiblesse. Corentin ne relâcha en rien son étreinte et bientôt ses caresses se transformèrent en une masturbation très douce au travers du maillot de bain. Sans aucune gêne le minet alla même jusqu’à chuchoter à l’oreille de son partenaire :

- J’ai tout de suite senti pourquoi tu étais venu me voir sur la plage… Et apparemment je ne me suis pas trompé. Je crois que je vais me régaler !

C’est ainsi qu’après ses paroles remplies de désir, les visages se firent face, espacé de seulement quelques centimètres. Les lèvres entrouvertes étaient prêtes à se rencontrer. La tension sexuelle qui régnait était palpable à 20 miles à la ronde. Sous l’eau, la main de Corentin avait maintenant glissé dans le maillot de bain et s’activait sur la queue bien bandée de Doryann. Ce dernier n’en attendait pas moins et, tout excité, il se jeta littéralement sur sa nouvelle proie pour lui rouler une pelle des plus sensuelle. Le baiser torride dura une bonne minute durant laquelle les langues dansèrent un ballet endiablé de désir. C’est finalement Corentin qui mit fin à se baiser. Ne pouvant attendre de regagner la terre ferme pour goûter à la bite du sauveteur, il décida de plonger sous l’eau pour admirer la bête. Après avoir baisser le maillot de bain de son amant, il remonta à la surface rapidement et repris son souffle pour plonger à nouveau sous les tréfonds de la mer. Sans se faire prier il mit la queue de Doryann dans sa bouche et commença à lui faire une pipe aquatique, une première pour lui.

Plusieurs fois, le jeune minet remonta à la surface pour reprendre son souffle et plusieurs fois il replongea pour prendre cette délicieuse bite au fond de sa bouche. Jamais Doryann ne s’était fait sucer sous l’eau et si la sensation était étrange, elle était aussi très agréable. Ce petit manège dura bien 5 minutes avant que les deux garçons ne rejoignent la plage, excités et bandés comme des ânes.

Les quelques personnes encore présentent purent constater l’excitation des deux amants tant leurs queues étaient bandées. Si certains en furent offusqués, d’autres s’amusèrent de cette situation en imaginant très bien à quelle genre d’activités ils allaient maintenant se livrer. Corentin, beaucoup plus pudique, sembla un peu gêné par cette situation, au contraire de Doryann qui aimait s’exhiber de la sorte. Il faut dire que son petit shorty en lycra mettait beaucoup plus en valeur son érection que le short de bain rouge du sauveteur. Ce dernier, ayant fini son service, emmena son amant dans un coin isolé de la plage, lieu connu des couples gays aimant profiter des copulations en plein air.

Une fois arrivée derrière la dune de sable, Doryann attira Corentin vers lui et le pris dans ses bras pour l’embrasser passionnément. Ce fut un baisé torride et endiablé ou les corps et les sexes se frottèrent l’un contre l’autre. Leurs mains, pas en reste, vinrent également se perdre sur le dos ou sur les fesses du partenaire. Finalement, trop excité, le sauveteur posa ses mains sur la tête de son jeune amant et appuya dessus pour la faire descendre au niveau de son bassin :

- Oh Corentin, j’en peux plus, vas-y suce-moi la bite !

Ravi de l’effet qu’il faisait à son partenaire, le jeune garçon s’exécuta bien volontiers. Ainsi, il se retrouva très vite à genoux dans le sable et, après avoir baissé le short de bain de Doryann, il prit sa queue en main et la branla quelques instants avant de la diriger vers sa bouche grande ouverte.

Une fois la bite du sauveteur bien au chaud au fond de son palais, Corentin ne la lâcha plus durant près de 5 minutes, la pompant comme si sa vie en dépendait. D’ailleurs, il n’y eut aucun round d’observation dans cette fellation et le garçon débuta directement par une belle et gourmande gorge profonde. S’il n’était plus en apnée sous l’eau, il l’était maintenant sur la queue de Doryann, arrêtant de respirer pendant près de 20 secondes. Une fois à bout de souffle et se mettant à toussoter, il finit par relâcher son étreinte pour reprendre sa respiration. A la demande de son partenaire, il recommença plusieurs fois cette performance… La différence c’est qu’à présent, c’est Doryann qui dirigeait les opérations, en maintenant de ses mains puissantes la tête de Corentin contre son pubis.
A chaque gorge profonde l’homme gémissait de plaisir :

- Hummm, oh putain oui, vas-y bouffe moi la queue, c’est trop bon…

Et quand Corentin commençait à s’étouffer, le puissant éphèbe enfonçait sa bite encore plus profondément dans sa gorge en disant :

- Ne t’inquiète pas, si tu t’étouffe, je te ferais du bouche à bouche, je suis diplômé pour ça.

Ainsi, le garçon se fit baiser la gueule avec une telle bestialité que cela en devenait très animal. Sa bouche n’était plus qu’un simple trou dans lequel Doryann venait se soulager, lui déboîtant la mâchoire à chaque va-et-vient. S’il était totalement malmené, Corentin semblait apprécié ce traitement car il bandait très fort. Malheureusement, il ne pouvait pas vraiment se toucher tant il était occupé à encaisser la bite de son partenaire.

Si bien qu’après avoir démarré sur les chapeaux de roue, la fellation baissa en intensité et devint un peu plus sensuelle. Cela permit à Doryann de ne pas lâcher trop rapidement et à Corentin de reprendre son souffle. A présent, le jeune minet s’amusait avec sa langue tout le long du chibre de son partenaire, venant s’attarder plus spécifiquement sur le gland humide de ce dernier. Puis il reprit la succion avec des va-et-vient d’abord lent, puis de plus en plus rapide, retrouvant au bout de quelques minutes le rythme initial.

Une fois de nouveau prêt à envoyer la sauce, Doryann voulu passer aux choses sérieuses. Il demanda à Corentin de se mettre à quatre pattes sur le sable et, après avoir baissé son maillot de bain, il se mit derrière lui pour venir lui bouffer la chatte. Sa langue experte pris immédiatement possession de ce trou tout lisse et sembla faire des miracles tant le jeune homme se mit à gémir :

- Oh oui, hummm, c’est trop bon, bouffe-moi le cul.

- T’aimes ça hein mon salop !

- Oh oui, ta langue est juste magique !

Professionnel de l’anulingus et encouragé par ces paroles, le sauveteur continua ce traitement pendant quelques instants encore. Puis, jugeant que l’anus du garçon était assez humide, il positionna sa bite à l’entrée de cette antre du plaisir. Sans se faire prier plus longtemps, il pénétra le garçon d’un coup sec lui arrachant un cri de douleur, tant il ne s’y attendait pas. 

Une fois à l’intérieur de ce trou bien étroit, Doryann se mit directement à le baiser avec la fougue qu’on lui connaissait. Encore une fois, il n’y eut aucun round d’observation et très vite les gémissements de Corentin montèrent dans les aigus. Cette fois, il n’était plus question de douleur mais uniquement de plaisir. De son côté, le sauveteur prenait aussi un pied d’enfer à pilonner les fesses absolument divines du minet. D’ailleurs, pour ne pas jouir trop vite, il dut ralentir le rythme plusieurs fois, retirant son sexe lentement de ce beau cul, avant de replonger dedans d’un coup sec et rapide. Il réitéra plusieurs fois l’opération, faisant bouillonner de plaisir le beau Corentin :

- Oh oui Doryann, baise-moi, c’est trop bon !

Trop occupé par leur affaire, les deux garçons n’avaient pas vu que, derrière un buisson, un jeune homme appréciait fortement le spectacle qu’il avait sous les yeux. Paul, qui se branlait maintenant depuis quelques minutes, rêvait de se retrouver à la place de Corentin. En tant qu’habitué de la plage du Centenaire, il fantasmait depuis longtemps sur le beau sauveteur. Maintenant qu’il avait ce spectacle sous les yeux, il se dit qu’il ne pouvait plus passer à côté de l’occasion. Ainsi, une idée germa dans sa tête et il quitta discrètement son poste d’observation pour aller piquer une tête un peu plus loin au large.

Doryann et Corentin n’avait rien vu de son manège, affairés à baiser comme des bêtes. Pourtant, alors que le jeune minet chevauchait avec passion son partenaire, ils entendirent des cris venant directement de la mer :

- Au secours, au secours, le courant m’emp… Je vais me noyer…

Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que notre Mitch Buchannon national décide d’interrompre à regret son coït et fonce vers la plage. Repérant la personne en difficulté, il alla d’abord chercher sa bouée rouge et plongea ensuite pour aller la secourir. En quelques instants seulement, il se retrouva à son niveau et pu ramener le garçon vers la terre ferme.

Sur la plage, Corentin assistait avec admiration à cet incroyable sauvetage. La performance de Doryann, sa dextérité et sa rapidité d’exécution dans l’eau lui donna encore plus envie de s’abandonner à lui. Quand il le vit déposé le jeune homme sur le sable, il s’approcha d’eux, toujours bien bandé dans son shorty en lycra. Au sol, le garçon semblait bien évanoui et ne réagissait plus aux paroles. Doryann décida donc d’entamer un bouche à bouche pour le réanimer au plus vite. Mais à peine avait-il posé ses lèvres sur celles de Paul que ce dernier inséra sa langue et lui roula un patin des plus torrides.

Le petit coquin, qui avait mimé sa noyade à la perfection, était enfin parvenu à ses fins. Surpris par cette fougue, Doryann compris rapidement qu’il avait à faire à un très bon acteur. Cependant, il ne manqua pas de répondre au baiser de sa victime et bientôt les deux garçons s’embrassaient langoureusement sur le sable, en frottant avec désir leurs corps l’un contre l’autre.

Corentin, bien qu’un peu jaloux d’être délaissé, se caressait devant ce magnifique tableau érotique. Quand la tête de Paul descendit vers l’entrejambe de Doryann et pris sa queue en bouche, le beau garçon alla le rejoindre sur le sol afin de partager avec lui cette délicieuse gourmandise.
Cette journée, qui avait si mal commencée pour notre héro des mers, avait pris une tournure plus qu’intéressante. A présent, sa bite jouissait d’être prise en étau entre deux bouches humides qui s’embrassaient langoureusement autour de son gland. Très vite, le gros chibre du maître-nageur se mit à coulisser entre les lèvres de ses deux partenaires qui, à coup de langues ravageurs, venaient lui procurer un plaisir intense.

Cette double fellation dura quelques instants avant que les choses sérieuses ne reprennent. Trop excité par la situation, Paul se positionna à 4 pattes sur le sol en réclamant qu’on s’occupe de ses belles petites fesses. En as de l’anulingus, Doryann vint immédiatement derrière lui pour lui bouffer sa chatte imberbe avec ardeur. Pendant ce temps, Corentin profita lui aussi d’une bonne bouche puisque le futur enculé lui suçait le dard avec passion.

Ainsi, la plage du centenaire était devenue le théâtre d’un concert de gémissement tant les 3 protagonistes prenaient leur pied. Une fois l’anus de Paul bien dilaté, Doryann ne tarda pas à venir y plonger son sexe et entreprit un nouvel assaut dans les tréfonds du plaisir. Tout comme pour Corentin, il ne perdit pas de temps et se mit à le pilonner avec une vraie bestialité. Le pauvre passif était tellement baisé que son corps était projeté en avant à chaque coup de butoir. Corentin en profita pleinement puisque sa bite se retrouvait plongée au fond de la gorge de l’enculé à chaque va-et-vient, rythmant la fellation qu’il subissait. Entre deux succions, Paul gémissait à haute-voix :

- Oh oui putain, baise-moi la chatte, baise-moi plus fort

- Tu l’aimes ma bite petite salope hein ?

- Oh oui, elle est trop bonne !

Les positions changèrent ensuite, sans que les rôles n’évoluent. Doryann s’allongea sur le dos et Paul vint s’empaler sur lui, tout en suçant Corentin qui se tenait debout à ses côtés. Après avoir baisé Paul pendant 5 bonnes minutes, et à la demande de son premier amant de la soirée, Doryann changea de paire de fesses et reprit là où il s’était arrêté avant le « sauvetage ». Cette fois-ci, c’est bien Corentin qui avait une bite dans le cul et une bite dans la bouche, Paul pouvant profiter à son tour de ses talents de suceur.

Mais bientôt, il voulut retrouver une belle queue dans son trou. Comme celle de Doryann était déjà bien affairée, il fit comprendre à Corentin qu’un petit train ne serait pas de refus. Versatile, le minet accepta la demande avec joie et bientôt, il se retrouva pris en sandwich entre deux magnifiques garçons.
N’y a-t-il pas de plus grand plaisir que de baiser tout en se faisant prendre le cul soi-même ? En tous cas, pour une première, Corentin gérait comme un chef ! C’est lui qui rythmait maintenant les ébats. Ses mouvements de bassins le faisaient soit s’empaler sur le chibre de Doryann, soit plonger son propre sexe dans l’anus de Paul… Un plaisir immense à chaque va et à chaque vient !

Les 3 amants couinaient de plus en plus fort, se fichant royalement d’une quelconque discrétion. Cette débauche hautement pornographique accéléra les choses et bientôt la sauce commença à monter. Il devenait très difficile de se retenir de jouir tant le plaisir était intense. Et c’est finalement Corentin qui craqua le premier tapissant les intestins de Paul dans un ultime mouvement de va-et-vient. Sentant le sperme couler à flot au plus profond de lui, ce-dernier ne put s’empêcher de jouir sur le sable, alors qu’il ne se touchait même pas. Cela montrait bien à quel point il était excité !

Dernier à ne pas avoir joui, Doryann se retira finalement des fesses de Corentin. Les deux garçons comprirent immédiatement ce qu’il attendait et ils s’agenouillèrent à ses côtés. Docilement, ils reprirent la double fellation qu’ils avaient commencé tout à l’heure. A nouveau, les langues vinrent s’emmêler autour du gland du bel homme qui gémissait tout son plaisir :

- Oh putain oui, hummm ça monte, vous allez me faire jouir, hummm…

Mais Doryann avait encore de la ressource et les deux minets purent encore profiter de celle belle queue savoureuse avant qu’elle ne crache tout son foutre. Ainsi, le sauveteur entreprit des mouvements de bassin de telle sorte que son chibre coulisse entre les deux bouches. Ses couilles étaient tellement en ébullition que c’était littéralement alerte à Maliboules qui se jouait sur le sable. De plus, voir ces deux beaux visages juvéniles et sentir ces deux langues se disputer son chibre rendait Doryann totalement fou. Cette fois-ci, il n’allait plus pouvoir se retenir !

Le sentant proche de la jouissance, Paul et Corentin retournèrent s’embrasser langoureusement autour de son gland, attendant avec impatience de boire le nectar de la vie. Ils n’eurent que quelques secondes à patienter avant que le bel homme se libèrent à pleine puissance dans un râle de plaisir :

- Hummm oh oui, ça vient, je vais, oh je viens… Hummm

C’est ainsi qu’un flot continu et incontrôlé de sperme se déversera entre les deux bouches. Au fur et à mesure que cela sortait, Paul et Corentin s’échangeaient le jus en s’embrassant. Il n’y eut pas moins d’une dizaine de jet avant que Doryann ne se retrouve à sec. Bien que vidé, ses deux amants continuaient de le sucer pour ne laisser aucune trace de sa jouissance.

Finalement, les 3 garçons s’allongèrent sur le sable et passèrent la nuit ensemble à la belle étoile. Dès demain Doryann espérait bien trouver de nouvelles proies aussi belles et aussi douées que ces deux-là.

Fin

Comments

[Sohaibe]

Bonjour cher Louis je veux te parlé de ton récit que j'adore Mathis, un jeune danseur nommé désir

[Sylvain]

Merci Louis Alexander pour ce nouveau récit torride! Une belle façon de prolonger l’été

[Louis_Alexander]

Merci beaucoup Sylvain pour ton gentil commentaire. Je suis heureux d'apprendre que tu aies apprécié ce récit. En effet, c'était une façon pour moi de prolonger l'été ^^ Bisous et encore merci de ton soutien