Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Histoires érotiques gay French Twinks

Collocation opportune

7 Novembre 2020, 12:23pm

Publié par Louis75A

Nouvelle histoire avec les deux dernières et magnifiques recrues du studio French Twinks : Valentin Meunier et Jérémy Kelly. J’espère que cela vous plaira et que vous prendrez du plaisir. Bonne lecture !

Nouvelle histoire avec les deux dernières et magnifiques recrues du studio French Twinks : Valentin Meunier et Jérémy Kelly. J’espère que cela vous plaira et que vous prendrez du plaisir. Bonne lecture !

A tout juste 20 ans, Jérémy était un garçon accompli. Jeune homme très intelligent, il avait brillamment réussi sa licence en biologie. A présent, il entamait un master professionnel destiné à lui tendre les portes de l’industrie pharmaceutique, très porteuse en ces temps incertains.
A ce titre, le lyonnais débutait une nouvelle année en alternance ou il passerait deux jours par semaine à l’école et trois jours par semaines en entreprise.

A peine un mois que la rentrée était passée et le beau garçon faisait déjà l’unanimité, que ce soit à l’école ou au travail. Il faut dire que Jérémy ne lésinait pas sur les détails. S’il travaillait très dur, il prenait également soin de son apparence. Ainsi, quand il allait œuvrer au service marketing d’un grand laboratoire, il revêtait toujours un costume très saillant et très classe. Si bien qu’il suffisait de le voir pour tomber sous son charme. Mais ce n’est pas uniquement pour sa grande beauté que l’on appréciait l’étudiant. En effet, c’est aussi pour son sérieux, sa gentillesses et ses compétences. En d’autres termes, le jeune garçon était une pépite pour tous ceux qui le côtoyaient.

S’il ne dépassait pas les 1m70, Jérémy avait un physique d’apollon. Son corps finement musclé était un délice pour les yeux. Sa peau noire et magnifiquement lisse était une invitation aux caresses. Son beau visage, ses lèvres pulpeuses, son torse, ses fines jambes, son petit cul bien ferme,… Tout n’était qu’une ode au désir ! D’ailleurs, il n’était pas rare que l’on se retourne pour mater ses belles fesses bombées, notamment quand il portait ses pantalons de costume bien moulant. Il n’était d’ailleurs pas très innocent et savait bien mettre en valeur ses belles formes quand il le fallait.

Pourtant, si elles étaient nombreuses à se retourner sur son passage, les femmes n’intéressaient pas Jérémy. Au contraire, elles le laissaient complètement de marbre. En revanche, le jeune homme ne pouvait résister devant un beau garçon, surtout si celui-ci était blond aux yeux bleus. Car gay, il l’était à 200 % ! Cela faisait déjà quelques années qu’il avait découvert son homosexualité, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il l’avait complètement accepté. En effet, le sexe, il aimait ça ! Il faut dire qu’à son âge, il était en pleine possession de ses moyens et les hormones le travaillaient énormément. Ainsi, il ne manquait jamais une occasion de se donner du plaisir, quelles que soient les conditions ! Si bien qu’il se retrouvait parfois dans des situations totalement incongrues. C’est d’ailleurs l’une de ses circonstances qui nous amène à notre histoire…

-----------------------------------------------------------------------------------------

Valentin Meunier, jeune marseillais de 18 ans, venait d’obtenir son baccalauréat sans même devoir passer les épreuves écrites et orales. En cette année 2020 si particulière, il avait acquis assez difficilement son diplôme avec tout juste 10 de moyenne. Il faut dire que le garçon n’était pas très assidu et préférait largement passer du bon temps plutôt que d’étudier. Mais en raison de cette pandémie de COVID-19, il avait dû se résoudre à travailler plus régulièrement de chez lui…Avec ses parents sur le dos pour lui mettre la pression H24 et 7 jours sur 7, la tâche n'était pas aisée. Autant vous dire que cette épreuve du confinement avait été doublement pénible pour le jeune homme.

Mais une fois le diplôme en poche et le confinement terminé, Valentin avait pu pleinement profiter de son été. Son inscription à l’Université de Lyon faite, il avait passé ses vacances à sortir avec ses amis et à « profiter » de sa jeunesse… Et il n’était pas difficile de profiter quand on avait autant de charme. En effet, Valentin était beau comme un ange tombé du ciel. Bien qu’il avait le diable au corps, on aurait pu lui donner le bon dieu sans confession. Avec ses cheveux châtains, ses beaux yeux bleus-verts et son visage imberbe, il ressemblait à ces jeunes éphèbes grecs des temps anciens. Son corps lisse et finement musclé venait parachever un physique de rêve.

Bien qu’ayant tout juste 18 ans, il était déjà très actif sexuellement et plutôt du genre à collectionner les conquêtes. D’ailleurs, elles étaient nombreuses à vouloir le mettre de son lit ! Pourtant, si elles se donnaient toutes les peines du monde pour parvenir à leur fin, aucune fille n’était parvenue à chevaucher le beau Valentin. Pourquoi ? Tout simplement parce que le garçon préférait de lui-même chevaucher une belle bite bien dure avec des couilles remplies de sperme. Et à chaque fois qu’il draguait un mec, il faisait mouche. Il fallait le voir se dandiner les fesses sur un sexe rigidifié par le désir… Aucun homme ne pouvait y résister ! Quant à ses fellations, elles étaient si bonnes que bien souvent ses partenaires crachaient leur semence sans même pouvoir lui faire l’amour. En résumé, en plus d’être divinement séduisant, Valentin était une vraie « sexe-machine ».

Pour le jeune garçon, la rentrée universitaire était synonyme de deux bouleversements majeurs. Le premier était qu’en quittant le lycée, il rejoignait un nouvel univers, celui des études supérieures, le privant de la plupart de ses amis du quotidien. Un monde qui devrait inévitablement le conduire vers sa nouvelle vie d’adulte. Le second changement, et pas des moindres, est qu’en ayant choisi d’étudier à Lyon, il allait, pour la première fois, quitter le domicile familiale et ses parents. C’est ainsi qu’à l’aube de cette nouvelle année scolaire, Valentin se mit en quête de son premier appartement.

Les premiers résultats furent plus que décevant. En effet, avec son maigre budget d’étudiant, le garçon ne put rien trouvé à son goût, pas même un petit studio potable. Ne voulant pas s’expatrier dans une banlieue lointaine, il dût se résoudre à l’idée qu’il ne pourrait vivre dans cette ville que d’une seule façon : la colocation.

Ainsi Valentin emménagea dans un premier appartement avec trois autres étudiants : 2 filles et un garçon. Malheureusement pour lui, il n’eut aucun feeling avec eux et dû se résoudre à partir avant de commettre un meurtre. C’est ainsi qu’en ce début du mois d’octobre, il se retrouva dans la mouise. Finalement, il fallut que ses parents s’en mêlent pour que la situation se débloque. En effet, le patron de sa mère avait un fils qui faisait lui aussi ses études à Lyon. Vivant dans un appartement assez grand, ce dernier pourrait aisément héberger le jeune Valentin un certain temps, avant que celui-ci ne trouve son propre logement.

C’est ainsi que quelques jours plus tard, le jeune garçon se retrouva devant la porte du dénommé « Jérémy Kelly » avec toutes ses affaires en main.

--------------------------------------------------------------------------------------

Ce n’est pas de gaité de cœur que Jérémy avait accepté d’accueillir le fils d’une employée de son père. Il n’avait pas vraiment eu le choix, car c’est bien son paternel qui lui payait ce très beau 45 m² en plein cœur de Lyon. Ce qui le dérangeait surtout c’est qu’il allait perdre toute son intimité, celle qu’il appréciait tant et qui lui permettait de se branler ou baiser n’importe quand et n’importe où dans son appartement.

Mais quand il ouvrit la porte, il changea rapidement d’avis tant le charme de son futur colocataire le sidéra. Les deux garçons restèrent un peu hébéter devant le palier, à se dévisager de la tête au pied.

Après un long silence, c’est finalement Valentin qui rompit le silence :

- Salut, je suis Valentin, le fils de Mme Meunier qui travaille pour ton père.

- Ah salut Valentin, je t’attendais, moi c’est Jérémy, enchanté.

- Moi de même !

Après un nouvel instant de silence, Jérémy reprit :

- Je t’en prie, rentre. Attend, je vais t’aider, dit-il en prenant en main l’une des valises de Valentin.

C’est ainsi que les deux garçons firent connaissance durant le reste de la journée. Le jeune marseillais s’installa dans la pièce qui faisait office de bureau et dans laquelle Jérémy avait installé un matelas d’appoint. En attendant d’avoir mieux, cela ferait parfaitement l’affaire !

Dès le lendemain, la routine du quotidien repris le dessus. Jérémy alla travailler dans son entreprise d’alternance et Valentin, quant à lui, alla suivre ses cours de première année de droit. En parallèle de ses études et afin de financer son logement, le jeune garçon avait également accepter un petit boulot, 15 heures par semaine. Ainsi, à l’aide de son vélo, il parcourait la ville de Lyon pour aller livrer à domicile des repas pour une plateforme mondialement connue.

Il était donc rarement présent à l’appartement avant 21h00, ce qui permettait à Jérémy de garder un peu d’intimité. Pourtant, ce dernier n’était plus autant retissant à l’idée de partager son logement. Il faut dire que, depuis qu’il lui avait ouvert la porte, Valentin habitait tous ses fantasmes. Chacune de ses branlettes finissait par une éjaculation fulgurante ou il s’imaginait tapisser le palais ou les intestins du jeune garçon. A chaque fois qu’il le voyait, il ne pouvait s’empêcher d’avoir des pensées érotiques à son égard, si bien qu’il n’était pas rare qu’il se retrouve dans l’embarras, à tenter de dissimuler une érection incontrôlée.

Si cela faisait maintenant deux semaines qu’ils cohabitaient ensemble, ni l’un ni l’autre ne s’était ouvert sur sa sexualité. Pourtant, ils en auraient gagné du temps s’ils avaient réussi à franchir ce cap plus tôt ! Car si Jérémy fantasmait sur Valentin depuis les premières secondes, la réciprocité était totale. En effet, l’ange marseillais ne pensait plus qu’à coucher avec son beau colocataire. Surtout depuis qu’il avait entraperçu la taille de la bête au travers des pantalons de costume que portait Jérémy. Il avait même eu le plaisir de l’admirer en boxer à la sortie de la douche. Il s’en était fallu de peu pour qu’il se jette dessus afin de la caresser, la prendre en main, en bouche… Mais s’il avait faim de son chibre, ce n’est pas seulement pour lui que Valentin le désirait. Au que non ! Tout chez Jérémy l’attirait : son charme, son physique, sa gentillesse,...

Si bien que plus le temps passait et plus les pensées lubriques s’accentuaient d’un côté comme de l’autre. Et l’inévitable finit par arriver…

------------------------------------------------------------------------------------------

Tout commença un jeudi soir à 19h00. Jérémy était rentré de ses cours très excité mais aussi très affamé. Alors pour ne pas perdre de temps et sachant que Valentin ne rentrerait pas avant une bonne demi-heure, il commença par allumer son ordinateur et lança un porno sur le site de minets français auquel il était abonné. En parallèle, il partit chercher quelques ingrédients pour se faire un bon sandwich. Inévitablement, devant la qualité de la scène et la beauté des acteurs, l’excitation pris le dessus sur la faim. Ainsi, Jérémy délaissa sa préparation et commença à se branler activement. Au bout de quelques minutes, fantasmant sur le magnifique Sacha Delage qui se faisait pilonner le cul par Bastien Leray, il sentit la sauce montée. Et alors qu’il était arrivé au point de non-retour, il entendit des pas se rapprocher de la porte d’entrée.

Pris de panique mais ne pouvant plus se retenir, Jérémy éjacula tout son sperme sur la première chose qu’il avait sous la main : une tranche de pain de mie. Ainsi, le morceau fut rapidement recouvert de liquide blanc Et tandis que les bruits de pas s’accentuaient, le jeune homme, affolé, recouvrit la tartine de foutre sur le reste du sandwich qu’il avait commencé à préparer… Salade, tomate, fromage, jambon et sauce blanche, un véritable sandwich façon Jérémy !

Quand son colocataire arriva à l’appartement, Jérémy avait juste eu le temps d’éteindre son porno et d’aller se rhabiller dans sa chambre. Mais quand il revint dans le salon, mine de rien, il faillit défaillir. En effet, Valentin était en train de déguster son sandwich, le même qu’il venait d’asperger de son sperme.

En le voyant débarqué, le jeune marseillais qui semblait se régaler s’excusa :

- Humm… Désolé Jérem mais j’avais trop faim, j’ai eu une journée bien remplie et ça fait 3 heures au moins que mon ventre réclame de la bouffe !

Devant la non-réaction et le regard ébahi de son colocataire, Valentin reprit :

- Bin quoi, qu’est-ce qu’il y a ?

- Euh, je… Non rien ! Rien…

- En tous cas, je ne sais pas ce que tu as mis dans ton sandwich mais il est très bon, un peu salé mais très bon.

En effet, sous ses yeux, Valentin semblait se régaler et ne perdait pas une miette de ce met délicieux. Il alla même jusqu’à se lécher les babines quand une goutte de sperme coula le long de sa lèvre inférieure. Jérémy se demandait comment il faisait pour ne pas sentir cet ingrédient mystère. Mais une chose est sûre, cela réveilla chez lui une nouvelle érection qu’il dût immédiatement soulager sous la douche.

Le lendemain matin, Jérémy, qui n’avait cessé de penser à l’épisode de la veille, préparait son petit déjeuner, alors que Valentin dormait toujours. Encore chamboulé à l’idée que le garçon avait dégusté son foutre, une nouvelle idée vicieuse lui traversa l’esprit… Ni une, ni deux, il la mit en pratique et commença à se branler dans la cuisine, en faisant bien attention de ne pas être pris en flagrant délit. Une masturbation qui se voulait rapide et efficace.
Tellement excité par ce qu’il faisait, il ne mit pas beaucoup de temps à jouir dans la tasse de son colocataire. Il attendit que ce dernier se réveille pour verser du café à l’intérieur… Un bon café au lait qu’il mélangea bien pour dissimuler son foutre encore abondant.

Dès que Valentin se présenta devant lui, pas très bien réveillé, il lui tendit la tasse :

- Salut beau gosse, bien dormi ?

- … Mouais, grommela le garçon qui aurait aimé rester plus longtemps au lit.

- Tiens, je t’ai préparé ton café ! Moi je file au boulot. Bonne journée !

- Merci, bonne journée à toi aussi ! Je bosse ce soir donc je vais rentrer tard !

- Ok ça marche, A+

Il fut très difficile pour notre scientifique en herbe de se concentrer. Pas une minute ne passait sans qu’il n’imagine Valentin boire son café au foutre. Cette idée l’excitait au plus haut point et il dut se masturber dans les toilettes de son entreprise par deux fois. Il n’avait qu’une seule hâte : rentrer chez lui pour savoir si le garçon avait découvert son stratagème.

La réponse fut non ! A son retour, tard dans la soirée, Valentin ne fit aucune allusion, que ce soit au café du matin ou bien au sandwich de la veille. Jérémy aurait pourtant tant aimé que celui-ci vienne lui dire qu’il avait tout compris et, encore mieux, qu’il vienne cette fois-ci boire son lait directement à la source… N’avait-il rien senti ? Était-il trop innocent ou trop timide pour en parler ?  Toutes ces questions ne cessèrent de travailler notre beau jeune homme et il eut beaucoup de mal à trouver le sommeil. Pourtant, Jérémy avait tort de s’en faire car il allait très vite avoir sa réponse !

En effet, quand il rentra le lendemain, il était extenué. Il avait eu beaucoup à faire au travail et sa courte nuit avait accentué la fatigue. Il pensait pouvoir profiter du début de soirée pour se détendre et évacuer toute la tension qu’il avait accumulée mais, à peine une minute après son retour, Valentin fit son apparition.

Etonné de le voir si tôt à l’appartement, il lui demanda :

- Déjà rentré ? Tu ne devais pas travailler jusqu’à 22h00 ce soir ?

- Non, finalement j’ai fait une livraison et comme j’ai la flemme, je me suis mis en off. Et puis, je préférais passer la soirée avec toi.

- Ah cool, reprit Jérémy un peu surpris par la manière dont Valentin le dévisageait.

- Et puis, ça va être pour moi l’occasion de te remercier pour le succulent sandwich et le délicieux café que tu m’as préparé avant-hier…

En entendant cette dernière phrase, le rythme cardiaque de Jérémy accéléra subitement. Il ne savait pas s’il s’agissait d’un simple remerciement innocent ou de paroles pleines de sous-entendus. Mais il n’eut pas longtemps à se poser la question puisque Valentin s’approcha de lui et lui dit en le regardant droit dans les yeux :

- Tu sais que j’ai encore très faim ce soir…

- Tu veux que je te prépare un sandwich, demanda son colocataire complètement pris au dépourvu, alors qu’il se dégageait un énorme tension sexuelle dans la pièce.

- Non, mais par contre, j’aimerai bien goûter encore à ta sauce secrète sans tous ces aliments inutiles autour.

En disant cela, Valentin avait posé sa main sur le paquet bien visible de son colocataire. Très vite la main commença à malaxer la bosse au travers du pantalon de Jérémy. Qu’il le trouvait beau comme ça, vêtu comme un véritable homme d’affaire : costume bleu slim, très bien taillé, chemise blanche, cravate… Très vite, le jeune marseillais déboutonna le pantalon et passa sa main pour tâter de plus prêt ce qu’il était venu chercher… Et il ne fut pas déçu en voyant l’immense érection qui déformait le boxer blanc CK de son ami.

Il faut dire que Valentin l’excitait tellement qu’il était déjà prêt à exploser. Outre sa grande beauté, voir son petit cul et son paquet bien mis en valeur par un short de cycliste blanc en lycra (sa tenue de livreur) l’excitait au plus haut point. Très vite, alors qu’il continuait de caresser Jérémy, Valentin déposa ses lèvres sur celles de son colocataire et les deux garçons s’embrassèrent avec passion, se touchant sur tout le corps et se frottant le sexe l’un contre l’autre. Les langues s’emmêlèrent avec émoi et dansèrent un ballet des plus sensuels. Le baiser torride continua pendant près de deux minutes avant que le jeune étudiant en droit ne décide de passer à la vitesse supérieure.

N’en pouvant plus d’attendre, il fixa Jérémy droit dans les yeux et s’agenouilla devant lui. Avec impatience, il descendit son pantalon à mi-cuisse puis il fit de même avec son boxer. Ainsi, la bite de son colocataire se dévoila enfin à lui : grande, épaisse, suintant déjà de liquide séminal …, exactement comme il les aimait ! D’une longueur de 20 cm et d’un diamètre bien large, cette dernière tressautait de désir à l’idée de se retrouver dans cette cavité buccale, chaude, humide et semblant si accueillante.
Après l’avoir bien admirée, Valentin prit cette belle queue en main, d’abord pour la toucher et l’apprivoiser, puis pour la branler délicatement, en la dirigeant vers ses lèvres pulpeuses. Quand sa langue vint lécher l’extrémité de son gland pour la première fois et récolter ainsi la mouille de Jérémy, ce dernier ne put s’empêcher de lâcher un profond gémissement. Pourtant, il n’était pas au bout de ses peines car il allait connaître un plaisir qu’il n’avait jamais connu auparavant !

Avec sa langue experte, Valentin commença par parcourir l’ensemble du sexe de haut en bas, puis de bas en haut, en insistant bien sur les points sensibles. Pendant ce temps, ses mains sous-pesaient les bourses de Jérémy afin d’évaluer la dose de foutre qu’il allait pouvoir déguster. Après cette première étape incroyablement érotique, le jeune garçon aspira le gland de son colocataire et lui roula une véritable pelle en enroulant bien sa langue autour, le tout à un rythme effréné. Cela déclencha de nouveaux râle de plaisir de son partenaire :

- Hummm ! Oh oui, oh Valentin c’est trop bon !

Fier de l’effet qu’il lui faisait, le garçon l’acheva définitivement, quand, en le regardant droit dans les yeux, il empala lentement mais surement son sexe au plus profond de sa gorge, en creusant bien les joues. Peu de ses amants avaient réussi cette performance, mais le beau Valentin avait maintenant ses lèvres posées sur son pubis avec ses 20 cm qui lui perforait la mâchoire, jusqu’à atteindre sa glotte. Le jeune marseillais tint la position jusqu’à ce qu’il commence à s’étouffer. Quand il se retira, à bout de souffle, il y avait de la bave qui s’écoulait le long de son menton. Mais le jeune homme ne resta pas longtemps inactif, bien au contraire. Après avoir retrouver sa respiration, il reprit le chibre de Jérémy en bouche et le pompa à un rythme incroyable. Il n’avait plus qu’une idée en tête : faire jouir son partenaire au fond de sa gorge…

Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’avec la conviction qu’il donnait à sa fellation, il n’allait pas mettre beaucoup de temps à parvenir à ses fins. En tous cas, son amant était déjà en extase et ne cessait de gémir :

- Hummm, oh oui, oh Valentin, ne t’arrête pas c’est trop bon…

Voulant faire durer le plaisir au maximum, le marseillais calma ses ardeurs et reprit sa pipe avec un rythme plus lent et des caresses buccales plus sensuelles. Mais une fois son amant reposé, il réattaqua par une bonne gorge profonde, suivi d’une deuxième, d’une troisième, … A nouveau au bord de l’éjaculation, Jérémy décida de prendre le contrôle des opérations. Ainsi, avec autorité, il prit la tête de son colocataire entre ses mains et se mit à lui baiser la gueule avec bestialité. A ce moment précis, il n’était plus question d’amour… Non il était juste question de jouir, de se soulager là où c’était le mieux : dans cette bouche délicieuse. Connaissant maintenant son aptitude pour les gorges profondes, Jérémy n’hésita pas à plaquer plusieurs fois la bouche de Valentin contre ses couilles, ne relâchant la pression que quand il sentait son partenaire s’étouffer. Ce dernier aimait se faire dominer de la sorte et ne cachait pas son désir :

- Oh oui Jérémy, baise-moi la gueule… J’ai trop envie de bouffer ton jus !

Entendre son colocataire le supplier de la sorte, le voir prendre autant son pied à lui bouffer la queue et surtout le sentir sucer avec autant de conviction, … S’en était trop pour le pauvre Jérémy. Avec ce niveau d’excitation, il sentait à présent son jus remonter de ses couilles. En tous cas, il ne semblait pas être le seul à être au bord de l’explosion puisque le short en lycra de Valentin était toujours déformé d’une imposante érection. On pouvait même voir une tâche de mouille au travers du tissu. Souhaitant en finir, le lyonnais finit par dire à son colocataire :

- Si tu veux que je jouisse, montre-moi que tu en as envie !

A ces mots, Valentin se jeta sur la bite de son amant et la suça avec encore plus d’intensité qu’il n’était possible. Avec sa bouche en forme de O, ses joues bien creusées, il aspira à nouveau ce chibre délicieux. Caresses buccales sensuelles, va-et-vient rapides, gorges profondes, tout l’art de la pipe y passa. Et l’inévitable arriva enfin quand dans un ultime va-et-vient Jérémy gémit bruyamment :

- Oh putain oui, oh hummm, oh je vais jouir…Oh ça vient, hummm…

Et en effet, quelques secondes plus tard, alors que sa queue était logée au fond de la bouche de son amant, un torrent de sperme déferla et vint remplir le palais de ce dernier. Il y en avait tellement que Valentin ne put déglutir assez rapidement pour tout avaler. A présent, du sperme dégoulinait sur son menton et il dut finalement relâcher la bite de Jérémy de telle sorte que ce dernier lui tapisse le visage avec les derniers jets qu’il cracha.

Le jeune marseillais n’avait jamais vu une éjaculation aussi impressionnante. Pourtant, il ne semblait pas rassasié par ce qu’il venait d’avaler. Ainsi, sans laisser son partenaire retrouver ses esprits, il reprit son chibre en main pour récolter tout le foutre qu’il avait sur le visage, puis le porter à sa bouche. Il répéta l’opération plusieurs fois, jusqu’à ce que plus aucune goutte de sperme ne perle de son joli minois. Fier de lui, il se redressa finalement avec le sentiment du devoir accompli. Pourtant, son short en lycra, toujours déformé par une imposante érection, indiqua à son partenaire que c’était loin d’être fini…
Car si Jérémy avait joui, Valentin ne comptait pas en rester là… Lui aussi voulait prendre son pied ! Et pour cela, quoi de mieux que de se faire bouffer le cul avant de se faire sauter ?

A ce titre, le garçon se déshabilla entièrement et alla se positionner sur le canapé, à quatre pattes, les fesses bien ressorties en direction de son colocataire. Jérémy compris le message et, après s'être mis lui aussi à poil, il alla le rejoindre. Il ne se fit pas prier plus longtemps et, après lui avoir bien pétri les fesses, il s’agenouilla et positionna sa langue à l’entrée de son anus rosé. Il commença alors un anulingus dont il avait le secret, tout en masturbant la bite de Valentin avec ses mains. Il devait être doué puisque ce dernier ne tarda pas à gémir à haute voix :

- Oh oui, hummm c’est trop bon ! Oh oui vas-y, bouffe-moi la chatte !

Encouragé par ces paroles, Jérémy redoubla d’efforts et fit voyager son partenaire jusqu’au sommet du mont plaisir. Après cinq minutes à lui dévorer ses belles fesses imberbes, et alors qu’il avait retrouver toute son excitation, l’étudiant lyonnais se redressa pour déposer sa bite contre l’arrière-train de Valentin. Ce dernier gloussait comme une chienne en chaleur en sentant ce gros chibre se promener le long de sa raie humide. Jérémy frotta son sexe quelques instants avant de finalement positionner son gland à l’entrée de l’intimité de son colocataire. Mais pour bien le faire languir, il décida de se retirer et recommença à se frotter contre son petit cul. Il répéta l’opération plusieurs fois jusqu’à ce que Valentin finisse par le supplier :

- Oh Jérémy, j’en peux plus, baise-moi s’il te plait ! Prend-moi maintenant !

Après avoir entendu ce qu’il voulait entendre, le garçon ne se fit pas prier plus longtemps et entama sa longue descente au plus profond de l’intimité de Valentin. La première pénétration fut lente et douce, le temps pour l’actif de bien sentir l’étroite cavité anale lui enserrer la bite, et le temps pour le passif de bien sentir ce chibre le remplir complètement. Une fois ses couilles plaquées contre les fesses de son amant, Jérémy profita quelques secondes avant de se retirer avec la même douceur et sensualité. Il répéta l’opération plusieurs fois avant d’accélérer le mouvement.

Très vite, le jeune lyonnais agrippa les cuisses de Valentin avec ses mains et se mit à le baiser de plus en plus rapidement jusqu’à lui pilonner littéralement les fesses. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il savait y faire puisque son amant gémissait de plus en plus fréquemment et fort :

- Hummm, oh oui Jérémy, oh oui, hummm, baise-moi, c’est trop bon !

Valentin se fit ainsi baiser de la sorte pendant près de cinq minutes avant de changer de positions. Ainsi, il chevauchait à présent son partenaire, en s’empalant et se désempalant de lui-même de la bite de Jérémy à un rythme effréné. Cela se voyait qu’il avait faim car sa façon de danser sur la queue de son colocataire était très érotique. Bien enfoncé en lui, Jérémy le voyait se trémousser dans tous les sens, avant que celui-ci ne reprenne ses mouvements de va-et-vient. Mais le plus excitant fut quand, au bout de 5 minutes et sans même se toucher, la bite de Valentin cracha une bonne dose de foutre qui vint directement atterrir sur le sol. L’excitation prostatique était si forte pour lui, qu’il n’avait même pas eu à stimuler son sexe.

Ils étaient rares ceux qui avaient réussi cet exploit de le faire jouir sans qu’il ne se touche… Et Jérémy était l’un d’entre eux. Mais s’il avait joui, Valentin n’en avait pas fini pour autant. En effet, il se fit encore baiser pendant près de 10 minutes, dans toutes les positions possibles et imaginables, jusqu’à ce qu’à son tour, Jérémy sente à nouveau la sauce monté.

Cette fois-ci il ne fit pas dans la dentelle et pistonna encore plus son amant en lui agrippant bien ses douces cuisses. Sa respiration était très saccadée et son rythme cardiaque très élevé. Il livrait une vraie performance sportive et gémissait à haute voix :

- Oh putain, ça vient, je vais jouir !

- Oh oui, vas-y, joui en moi, je veux sentir ton jus me remplir !

Ainsi, à la demande de son colocataire, Jérémy entama un ultime assaut bestial, avec des va-et-vient si intenses que l’on pouvait entendre ses couilles claquer contres les fesses de Valentin à un intervalle très rapproché. C’est à peine une minute plus tard, et pour la deuxième fois en moins d’une heure, qu’il se déversa en Valentin, avec une quantité de sperme très appréciable pour un deuxième round. En se retirant, il vit d’ailleurs tout son foutre dégouliner de l’anus de son amant. Avec sa queue, il fit en sorte de le faire rentrer à nouveau à l’intérieur en le pénétrant à nouveau. Une fois cela fait, il se dégagea définitivement et vint celer son union avec Valentin en l’embrassant langoureusement. Les deux garçons mirent quelques minutes avant de reprendre leurs esprits et se dirigèrent finalement vers la douche où ils ne cessèrent de s’embrasser et se caresser…

Une chose est sûre, la colocation était maintenant devenue une évidence pour Jérémy.

Fin

Si vous avez aimé ce récit, allez voir la somptueuse scène entre Jérémy et Valentin. C'est un véritable chef-d'œuvre pornographique !
 

 

Accéder à French Twinks
Accéder à French Twinks
Commenter cet article
S
Bravo! Très chaud, comme d’habitude. J’ai bien aimé le coup du sandwich aussi
Répondre
L
Merci beaucoup pour ton commentaire et content que tu aies apprécié le coup du sandwich ^^
D
Encore un excellent récit, mettant en scène 2 nouveaux acteurs FrenchTwinks. En lisant cet oeuvre, j'ai eu l'impression de revivre mes années fac. Cela semble être également le cas de notre narrateur préféré. Bravo et merci mon cher ami LouisAlexander de faire partager ces aventures.
Répondre
L
Merci beaucoup Dionysos pour ton commentaire. Il est vrai que les années fac ont été pour moi les meilleurs en tout point de vue :p En tous cas, je suis ravi de voir que tu apprécies mes récits. Personnellement, j'ai pris beaucoup de plaisir à écrire celui-ci. Et quand j'ai découvert la scène entre Jérémy et Valentin sur FT, je me suis dit que je ne m'étais pas trompé ^^ Encore merci à toi :)