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Histoires érotiques gay French Twinks

Pomper le pompier

28 Février 2021, 15:37pm

Publié par Louis75A

Nouveau récit French Twinks dédié à mes 5 acteurs préférés, ceux qui m’inspirent le plus et qui, par ses mots, je souhaitais remercier.  Alors un grand merci à Bastien Leray, Valentin Meunier, Paul Delay et Doryann Marguet pour tout le plaisir que vous me donnez, votre gentillesse et votre disponibilité ! Et un merci plus particulier à celui qui me fait le plus vibrer, mon vrai coup de cœur, j’ai nommé le magnifique Sacha Delage. Bonne lecture !

Nouveau récit French Twinks dédié à mes 5 acteurs préférés, ceux qui m’inspirent le plus et qui, par ses mots, je souhaitais remercier. Alors un grand merci à Bastien Leray, Valentin Meunier, Paul Delay et Doryann Marguet pour tout le plaisir que vous me donnez, votre gentillesse et votre disponibilité ! Et un merci plus particulier à celui qui me fait le plus vibrer, mon vrai coup de cœur, j’ai nommé le magnifique Sacha Delage. Bonne lecture !

Partie 1 : Sacha, Valentin et Doryann

L’hiver touchait à sa fin. Le ciel terne et nuageux avait enfin laissé place aux douces lumières du printemps. Après plus de 4 mois passés nus, endormis par de longues nuits froides et humides, les arbres du parc avaient retrouvé toute leur vitalité, bourgeonnants de mille feu. Les parterres de fleurs resplendissaient à nouveau de multiples couleurs : le jaune des jonquilles et des tulipes se mélangeait avec harmonie au rose et au blanc des magnolias ou encore aux teint orangé des dahlias. Le chant des oiseaux berçait le cœur des amants qui se promenaient, main dans la main, dans les allées du parc Grammont.
Les écureuils sautaient d’arbre en arbre, en prenant soin d’éviter les pas de ceux qui arpentaient leur habitat, ramassant au sol baies, bourgeons, fleurs, insectes ou autre pomme de pins. C’est ainsi qu’avec l’arrivée des beaux jours, la vie avaient repris ses droits dans l’un des poumons verts de l’agglomération Rouennaise.

C’est dans cette ambiance printanière que Sacha déambulait seul dans le parc de la ville, en cette douce matinée d’avril. Le jeune homme profitait d’une journée de repos bien méritée pour se changer les idées et admirer la beauté de la nature. Etudiant en alternance dans l’événementiel, il passait beaucoup de temps enfermé entre ses cours, son bureau et les divers grands salons auxquels participait son entreprise. Profitant du professionnalisme de ce jeune talent, son patron usait toujours plus de lui, lui faisant adopter un rythme de travail acharné. Alors quand il avait du temps libre, le garçon aimait pouvoir se détendre au grand air, profitant de la beauté qu’offrait la nature. Pourtant, il y avait bien une beauté de la nature dont il n’avait pas encore conscience : la sienne.

En effet, à 21 ans Sacha était un jeune homme sublime. Du haut de son mètre quatre-vingt-deux, il avait une silhouette longiligne digne d’un jeune mannequin. Son minois imberbe lui donnait un air innocent, dans le sens pur du terme. En d’autres mots, on lui aurait aisément donné le bon dieu en confession…
Car oui, derrière son apparence angélique, le garçon aimait les plaisirs de la chair, ceux pour lesquels les adorateurs de ce même bon dieu, vous brûleraient vif sur un bucher. Homosexuel affirmé, Sacha n’avait pas honte de ce qu’il était et se fichait pas mal des « qu’en dira-t-on ? ». Pour autant, il ne s'amusait pas à le crier sous tous les toits et aucun signe ne pouvait laisser présager de son orientation.

Ainsi, elles étaient nombreuses les femmes de ce parc à se retourner sur son passage, désirant prendre possession de ce corps gracile, fantasmant une nuit d’amour torride et passionnée avec celui qui éveillait le feu et la passion au creux de leurs reins. Elles ne se doutaient pas une seconde qu’elles n’avaient aucune chance avec lui, au contraire de certains hommes qui, eux aussi, jouissaient du plaisir des yeux. Il faut dire qu’en le voyant errer dans les allées du parc, vêtu d’un jean slim, mettant parfaitement en avant ses fesses, et d’un polo moulant son torse finement musclé, il y avait de quoi devenir fou de désir.

Mais tout cela, Sacha n’en avait pas conscience. Non, le jeune garçon se trouvait physiquement des plus banals… Pourtant, son charme faisait battre les cœurs, que ce soient des jeunes étudiants de son université ou encore d’hommes un peu plus mûrs, qu’il croisait à son travail. Depuis peu, il avait même appris l’existence d’un admirateur secret. Ce dernier, ne cessant de penser à lui, depuis qu’il avait croisé sa route, avait pris son courage à deux mains et avait décidé de lui déclarer sa flamme. Pour cela, il avait utilisé une méthode, certes un peu désuète mais toujours aussi romantique : une lettre !
S’asseyant sur un banc publique, très rustique, Sacha ne put s’empêcher de relire cette poésie maladroite, mais pleine de sincérité :

Une journée pour t’aimer

Depuis ce jour d’avril, il y a maintenant un an
Pas une seule nuit ne se passe
Ou je ne rêve que tu deviennes mon amant
Que par amour, tes lèvres m’embrassent

Me réveiller auprès de toi au petit matin
Ouvrir les yeux sur la douceur de ton âme
Me serrer contre toi et te prendre la main
Sentir ton odeur, celle qui alimente ma flamme

Après une matinée à te contempler
Me nourrir de ton amour à chaque repas
Essentiels comme des acides aminés
Tes baiser seuls me remplissent l’estomac

Quand finalement le crépuscule chassera le jour
Me retrouver à tes côtés au coin d’un feu
Nos sentiments brûlerons et nous ferons l’amour
Pour ne faire plus qu’un au lieu de deux

Une journée pour t’aimer, ce n’est pas assez
Et même si je ne serais jamais l’élu de ton cœur
Je jouirai à chaque instant de ta grande beauté
Car pour moi, seul compte ton bonheur

L.A.
 

Sacha resta encore un moment sur le banc, se demandant qui pouvait bien se cacher derrière ce pseudonyme… Qui pouvait écrire cela, qui pouvait bien pouvoir l’aimer ainsi ? Son regard voguait entre l’ancre noir du papier et la majestuosité du ciel bleu. C’est quand une vieille femme vint s’assoir à côté de lui qu’il fut tiré de sa torpeur. Le jeune homme rangea alors le courrier dans sa poche et reprit sa route vers la sortie du parc.

Sur le chemin pour regagner son domicile, la quiétude de la nature laissa rapidement la place à l’agitation de la ville. Arrivés au croisement de la rue Jacques Fouray avec la rue Pavée, Sacha remarqua un attroupement inhabituel de personnes devant une grande bâtisse Haussmannienne. Sa curiosité piquée au vif, il décida de s’approcher pour voir ce qu’il s’y passait. Quand il vit les camions de pompiers et la fumée sortir au travers de deux fenêtres voisines, il comprit rapidement qu’un incendie s’était déclaré dans un appartement situé juste au-dessus d’une boulangerie. Les soldats du feu étaient déjà affairés à éteindre les flammes et heureusement, l’incident n’avait fait aucune victime.
Bien qu’il n’était pas de nature à s’attarder comme un badaud sur n’importe quel « spectacle » de rue, il resta un moment immobile à contempler le travail des pompiers. Ses yeux étaient notamment rivés sur ce jeune homme, un grand brun qui semblait répondre au prénom de Bastien. Vêtu de sa combinaison rouge et noir, il avait éveillé le désir de Sacha, pour qui l’uniforme avait toujours été un élément fantasmagorique.

D’ailleurs, le jeune homme se demandait bien qui n’avait jamais désiré un homme en uniforme ? Pompier, flic, soldat, marin, motard, médecin, homme d’affaire, footballer, cycliste, danseur, … Ils étaient nombreux à faire fantasmer les femmes et les hommes gay de ce monde !
Que ce soit en short et crampon, en treillis militaire, en tenue de sapeur-pompiers, en blouse blanche, en smoking ou en collants moulants, les uniformes ont un vrai pouvoir sur les désirs, les émotions. En dissimulant ou, au contraire, en mettant bien en valeur les formes, ils accentuent ainsi l’érotisme et la beauté d’un corps, donnant une envie irrésistible d’en prendre possession.

Bastien ne dérogeait pas à la règle ! Dans sa tenue réglementaire, il avait l’air d’un dieu grecque : épaules solides, torse musclé, belle bosse à l’avant et cul rebondi dans son pantalon noir… Le jeune pompier avait exactement tout ce que Sacha recherchait chez un homme. A ce titre, il avait fait naître un profond désir chez lui : celui de découvrir le corps qui se cachait derrière son uniforme.
Le garçon avait maintenant une furieuse érection et surtout l’envie irrépressible de la soulager. Malheureusement pour lui, Bastien était bien trop occupé avec cet incendie pour prendre conscience de sa présence et de son intérêt pour lui. Sacha se résolu donc à regagner son appartement, des fantasmes plein la tête.

Une fois rentré, le garçon était parvenu à retrouver son état normal… Malheureusement pour lui, les gémissement provenant de la chambre de son colocataire furent de nature à réveiller son excitation. D’ailleurs, il n’eut même pas à tendre l’oreille pour comprendre que Valentin était en plein ébat avec l’homme qu’il avait ramené dans son lit la veille. Le prénommé Doryann, prénom qui résonnait en rythme dans l’appartement toutes les 10 secondes, devait être un sacré amant tant le colocataire de Sacha criait son plaisir à haute voix.

L’homme d’une trentaine d’année était professeur à l’Université de Rouen et n’avait pas pu résister aux avances non dissimulées de son élève. Il faut dire que l’enseignant avait beaucoup de succès, tant auprès de la gente féminine que masculine. Sa grande gentillesse et sa bienveillance était de nature à attirer l’attention vers lui. Tous ses élèves l’aimaient et n’hésitaient pas à aller discuter avec lui à la fin des cours, parfois de sujets totalement éloignés de l’économie qu’il enseignait. Il était parfois bien difficile pour lui de conserver cette fameuse barrière élève – professeur… Surtout qu’à 33 ans seulement, âge qui finalement l’éloignait très peu de la mentalité de ses étudiants, Doryann était aussi un homme d’une beauté très virile. Son corps musclé et velu, sa barbe bien taillée, son regard perçant faisaient de lui un objet de désir. Ainsi, il n’était pas rare qu’il se fasse ouvertement draguer par un de ses élèves, comme ce jeune étudiant de 1ère année : Valentin Meunier.

Si Doryann était d’un physique puissant, Valentin était quant à lui l’archétype de la beauté juvénile. Blond aux yeux bleus, corps lisse et svelte, il représentait tout ce qui pouvait faire fantasmer les hommes amateurs de jeune minets. A tout juste 19 ans, le garçon étudiait l’économie dans la même Université que fréquentait son colocataire. C’est d’ailleurs grâce à une annonce laissée sur le tableau d’affichage qu’il avait pu le contacter pour postuler à la chambre disponible dans son appartement. Avec son physique d’Appolon, sa gentillesse et sa convivialité, il n’avait eu aucun mal à convaincre Sacha de retenir son dossier. Cela faisait maintenant 6 mois que les deux garçons vivaient ensemble et, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils avaient appris à bien se connaître.

C’est ainsi que notre beau jeune homme n’eut aucune surprise en entendant le blondinet gémir à haute voix :

- Oh oui putain Doryann ! Encore ! Baise-moi, humm oui !

Le pauvre Sacha, lui qui était déjà excité en permanence, avait retrouvé une puissante érection qu’il allait bien devoir se résoudre à soulager !
Connaissant l’ouverture d’esprit de son colocataire, il aurait très bien pu aller les rejoindre dans sa chambre… Mais sa bienséance le poussa à rester en retrait, surtout qu’il savait ô combien Valentin fantasmait sur son professeur et rêvait de ne l’avoir que pour lui. Alors, il se résolut à écouter leurs ébats et se faire de bien en imaginant cette « grosse queue » le pénétrer en douceur, avant de donner sa pleine puissance dans des va-et-vient torrides et bestiaux.

Car c’est bien cela qu’il entendait venir de la chambre de son colocataire : une baise endiablée ! Les claquements des couilles de Doryann sur les fesses du blondinet résonnaient à un rythme effréné. Seul les gémissements de l’étudiant venaient couvrir ce tapage diurne. Il n’y avait aucune retenue dans leur accouplement. Empalé au-dessus de lui, Valentin donnait tout ce qu’il avait, alternant une sodomie active où il remuait ses fesses sur cette bite bien bandée, et une sodomie passive où il se laissait simplement pistonner par son amant.
Par moment, les bruits cessaient, synonyme d’un changement de position ou encore d’une fellation gourmande que prodiguait l’étudiant sur son professeur. Car s’il avait un cul d’enfer, le jeune homme savait aussi s’y prendre avec sa bouche. Il était même un expert des gorges profondes, arrivant à avaler entièrement des chibres de plus de 20 cm. Ainsi, il n’eut aucun mal à coller ses lèvres sur le pubis de Doryann, son gosier largement déformé par cette queue dégoulinante de mouille. C’est d’ailleurs comme ça qu’il avait réussi à le faire jouir une première fois hier soir, se prenant un torrent de foutre au fond de son estomac, manquant même de s’étouffer tellement il y en avait.

Mais en cette matinée, ce n’est pas avec sa bouche qu’il voulait faire éjaculer son professeur… Non, c’était bien avec ses fesses, celles qu’il mettait si bien en valeur en se cambrant d’une manière très érotique. Inutile de vous dire qu’en le voyant ainsi, Doryann agrippa fermement ses hanches et se mis à le défoncer de plus belle, reprenant par la même occasion le concert de claquements et de gémissements dont Sacha profitait largement, la bite à la main.

Notre jeune alternant n’avait pas pu s’empêcher de baisser son pantalon et son boxer pour se branler énergiquement dans le canapé. Son sexe était comme le reste de son corps, beau et désirable. Avec ses doigt humidifié de salive, il avait décalotté son gland et entreprenait maintenant des va-et-vient rapides, dont le seul objectif était de le faire jouir le plus vite possible. S’il était très excité par ce qu’il se passait dans la chambre d’à côté, il pensait également à ce beau pompier croisé tout à l’heure dans la rue. En fermant les yeux, il imaginait que c’était bien lui qui faisait claquer ses couilles contre ses fesses. Cette vision, conjugué aux gémissements permanents de son colocataire, décupla son excitation et il sentit qu’il ne serait plus très long à venir !

Cela tombait bien car dans la chambre de Valentin, les choses s’accéléraient. En effet, la tension était encore montée d’un cran et, au son de la voix du blondinet, il était évident que la baise aller toucher à sa fin :

- Oh oui Doryann, oh baise-moi plus fort, encore, oh je vais jouir !

- Tu l’aimes ma queue hein ! Parce que moi j’adore ton cul !

- Oh oui, hummmmmmmmmm

Ce dernier gémissement, d’une grande puissance vocale, signifiait que Valentin avait joui, tapissant sa couette d’une imposante marre de sperme.
Dans la foulée, Doryann accéléra sa sodomie et son souffle roque devint de plus en plus saccadé. Il n’était plus question de tendresse, de sensualité ou encore d’amour, ... Non, seul le soulagement comptait à présent !

Finalement, dans un ultime coups de rein, le professeur d’économie éjacula un torrent de foutre au plus profond des intestins de son élève. Et d’économie il n’était plus question, tant les jets étaient abondants et puissants. L’anus de Valentin ne put d’ailleurs pas tout absorber et le sperme se mit à dégouliner de son trou, salissant encore plus sa couette déjà souillée.

Avec tout ce vacarme et l’image du beau pompier en tête, Sacha n’eut aucun mal à éjaculer, prenant soin d’avaler son propre sperme pour ne pas en mettre partout. Ni vu, ni connu, il remonta son pantalon et retourna vaquer à ses occupations, en espérant qu’à son tour il pourrait profiter d’une séance de baise torride avec celui qui le faisant maintenant fantasmer.

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Partie 2 : Bastien et Paul

L’incendie de la rue Pavée avait mobilisé une bonne partie de la caserne toute la matinée. Après avoir éteint les flammes, il avait été nécessaire de sécuriser l’immeuble et de trouver l’origine du sinistre : un simple court-circuit provenant d’une machine à laver. Les pauvres locataires, qui avaient perdu tout leur bien, furent reloger rapidement par la mairie dans un hôtel à proximité. 
Quant aux valeureux hommes du feu, ils regagnèrent leur caserne pour un déjeuner et une partie de billard bien méritée ! Une fois encore, le soldat Leray fut le grand vainqueur de cette partie de boules.

En plus d’être un as de la queue (de billard), à 24 ans, Bastien était un jeune sapeur-pompier très prometteur. Sa vocation, son engagement et son dévouement aux autres étaient total. Il avait rapidement fait l’unanimité au sein de la caserne, que ce soit auprès de ses collègues ou encore de ses supérieurs, qui n’étaient jamais avares de compliments à son sujet. Outre son grand professionnalisme, il était aussi apprécié pour sa joie de vivre et sa bonne humeur. En effet, le garçon était un vrai bout en train ! Il n’était jamais le dernier quand il s’agissait de s’amuser, faire la fête ou encore mettre en scène des vidéos improbables. D’ailleurs, il était toujours très créatif à ce sujet.
Et pour couronner le tout, le garçon avait un physique magnifique, digne d’un dieu grecque. Du haut de son mètre quatre-vingt-dix, il avait un corps svelte et finement musclé, en tous cas bien assez pour que tout le monde se retourne sur son passage. Son visage et ses yeux d’un bleu envoutant venaient parfaire le tableau, digne d’un chef d’œuvre de Léonard de Vinci. Il avait également un autre attribut de choix… Un attribut qu’il avait dû laisser de côté quand l’alarme de son portable s’étaient déclenchée ce matin.

En rentrant chez lui, après une matinée riche en émotions, Bastien ne pensait même plus à celui qu’il avait laissé en plan pour aller sauver des vies. Il pensait tout bêtement que ce dernier avait quitté son domicile, quelques minutes après son départ… Mais quand il entra dans son appartement, le spectacle qu’il avait sous les yeux le laissa sans voix ! En effet, au bord de la fenêtre de son salon, un garçon bien cambré offrait ses fesses gourmandes à ses yeux.
Vêtu seulement de bas blancs et d’un mini-string, il ne semblait attendre qu’une seule chose : sa grosse queue ! D’ailleurs, quand il vit le jeune pompier revenir de son intervention, il commença à remuer ses fesses en poussant des gémissements très suggestifs :

- Oh mon chéri, enfin te voilà, je t’ai tellement attendu ! Je ne pouvais pas partir sans regoûter au plaisir de ta belle bite !

En entendant ces paroles, Bastien se remémora très rapidement à qui il avait à faire… Pris d’une subite envie de se soulager la veille, il avait trouvé et contacté ce garçon sur une célèbre application de rencontre gay. Parmi tous les profils proposés, il avait tout de suite flashé sur lui. Il faut dire que physiquement, il avait tout pour l’attirer ! Homosexuel invétéré, le jeune pompier aimait particulièrement les garçons avec un corps d’un finesse parfaite et surtout des fesses à tomber par terre. En plus de répondre à tous ces critères, Paul avait également un très beau visage, de beaux yeux, parfaitement mis en valeur par de fines lunettes qui lui donnait un air sérieux-sexy. Ainsi, devant ce profil proche de la perfection, Bastien n’avait pas hésité une seconde pour lui envoyer un message.

Paul Delay, lui aussi, n’avait pas mis beaucoup de temps à se laisser convaincre.
A 24 ans, le jeune banquier à la mentalité très « ouverte » aimait passer du bon temps et prendre du plaisir là ou il y en avait à prendre. Alors quand il vit qu’un pompier sexy s’intéressait à lui, il ne prit pas la peine d’en demander plus… Il prit quelques affaires et se dirigea vers l’appartement du jeune homme qu’il allait pouvoir pomper jusqu’à la moelle !
Derrière son appétit sexuel insatiable, Paul était aussi un garçon timide et adorable, très loin de ce que l’on pourrait appeler une « garce ».
Non, bien au contraire, le jeune banquier était toujours disponible pour aider ou faire plaisir à son prochain. Il était en quelque sorte l’amant idéal, celui que tous les hommes gay de ce monde rêveraient d’avoir à leur côté : un beau garçon aimant et toujours ouverts pour réaliser le moindre de vos fantasmes.

Alors quand en rentrant chez lui, Bastien découvrit ce spectacle, il ne perdit pas une seconde de plus. Il y avait un nouvel incendie à éteindre et cette fois-ci, c’est bien avec sa propre « lance » qu’il allait devoir agir.  
Il se rapprocha du brasier et, sans prendre la peine de faire autre chose que de baisser son pantalon et son boxer, il pénétra son amant, dont l’anus était déjà bien dilaté par ses doigts humides. La pénétration fut rapide et efficace.
Le jeune pompier agrippa les cuisses de Paul et se mit à le pistonner sans autre forme de douceur. La baise se voulait sauvage et torride, à la hauteur de la flamme qui brûlait les entrailles du garçon. Il y avait comme une urgence vitale : pour l’un celle de jouir, de se soulager le plus rapidement possible ; pour l’autre, celle de se sentir rempli jusqu’à satiété.

Pendant près de 10 minutes, Bastien laboura Paul à la fenêtre du quatrième étage, dans la même position, le jeune banquier offrant littéralement son cul à son amant. La vitre du salon était complètement recouverte de buée… Si les voisins du bâtiment d’en face avaient pu admirer le garçon couiner au début de la baise, il était maintenant impossible de discerner quoi que ce soit de l’extérieur. En revanche, les habitants des appartements du dessous, du dessus et d’â côté pouvaient aisément l’entendre gémir à haute voix :

- Oh oui Bastien, encore…. Hummm oui, baise-moi plus vite, oh j’adore ta grosse queue… Oh oui encore !

Le pompier ne se fit pas prier et continua de plus belle, emmenant son partenaire au septième ciel. Proche de la jouissance et jusqu’à présent totalement possédé, Paul décida finalement de reprendre les choses en main. Ainsi, il se dégagea de l’étreinte du pompier et s’agenouilla devant lui pour prendre sa bite en bouche. Car si l’incendie dans ses fesses avaient été partiellement circonscrit, sa gorge brûlait encore de sentir cette eau miraculeuse se déverser en lui !

Ainsi, il se mit à le sucer comme si sa vie en dépendait, faisant état de tous ses talents : gorges profondes, jeu de langue, va-et-vient sensuels ou gourmands… Il récita avec dextérité l’ensemble de l’encyclopédie de l’art de la fellation en sept volumes, faisant littéralement grogner de plaisir son amant :

- Oh putain, Oh oui Paul, continue, suce-moi comme ça !

- Hummm ouimmmm, répondit ce dernier la bouche pleine

Il n’eut pas le temps d’en dire plus que Bastien pris virilement la tête du garçon entre ses mains et se mit à lui baiser la gueule, n’hésitant pas à venir plaquer son pubis contre ses lèvres. Paul, qui respirait par le nez, ne pouvait alors tenir que quelques secondes avant de devenir tout rouge, baver un flot de salive et se mettre à toussoter. Il ne fallut que quelques va-et-vient pour que le pompier prévienne de sa proche jouissance :

- Oh putain, Paul ça vient, oh oui ça vient !

Ni une, ni deux, Bastien retira sa queue de la cavité buccale du jeune banquier et se mit à se branler au-dessus de sa bouche grande ouverte. Paul qui tirait la langue, attendant sa ration de lait, branlait également son sexe, lui aussi bien bandé par l’excitation de se voir dominé de la sorte.
Quelques secondes plus tard, dans une délivrance salvatrice, la « lance » de Bastien arrosa copieusement sa bouche et son visage de multiples jets blancs bien épais. Bien qu’ayant déjà joui par deux fois la veille, le pompier avait encore de quoi nourrir son partenaire qui se délectait de ce nectar, tout en jouissant lui-même sur le sol. Finalement, tremblant de plaisir, Paul s’écroula de fatigue sur le parquet, très vite rejoins par son amant vidé mais heureux.

Les deux garçons mirent quelques minutes à reprendre leurs esprits. Puis, après une bonne douche, Paul rentra chez lui, non sans fixant un prochain rendez-vous avec le beau pompier, lui aussi très heureux de pouvoir remettre ça dès que possible.

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Partie 3 : Sacha, Valentin et Bastien

Alors que Doryann avait quitté l’appartement, peu après le déjeuner, Sacha et Valentin dégustaient l’une de ses succulente pâtisserie dont il avait le secret.
En effet, outre le fait qu’il était un excellement amant, l’homme était aussi un cuisinier très talentueux et les deux étudiants se régalaient de sa tarte aux fraises. Le blondinet en profita également pour raconter à son colocataire comment il avait réussi à ramener le beau professeur dans son lit.
Pour cela, il avait été bien plus culoté qu’à son habitude, n’hésitant pas à glisser un petit mot cochon et anonyme dans les affaires du bel homme. Le message, très direct disait ceci : « Si tu veux te détendre avec l’un de tes étudiants, contacte-moi au 06 XX XX XX XX, tu verras je suis très doué avec ma bouche et mon cul… Et j’ai surtout très envie de voir ce qui se cache derrière le beau paquet sous ton pantalon ».

Ainsi, quand en plein milieu du cours, alors que l’ensemble des étudiants travaillaient sur un exercice d’économie, Doryann répondit qu’il était intéressé, Valentin fit en sorte de montrer que c’était lui, en répondant au message et en mettant son téléphone en évidence. Apparemment satisfait de voir qui se cachait derrière ses paroles, le professeur fit venir son élève à la fin du TD.
Après un échange de regards très coquins, sans même échanger le moindre mot, Valentin passa sous le bureau et soulagea avec sa bouche l’envie pressante de son nouveau partenaire. Subjugué par sa beauté et ses talents de suceur, il n’en fallu pas plus pour convaincre Doryann de passer la nuit à ses côtés.

Ce récit très détaillé ne manqua pas de refaire bander Sacha qui à son tour raconta comment il avait flashé sur un beau et jeune pompier en intervention.
Connaissant bien l’adresse de la caserne, Valentin lui proposa donc de s’y rendre afin de voir s’il allait pouvoir recroiser son crush de la matinée. Ainsi, à peine une heure plus tard, les deux garçons se retrouvèrent devant l’antre des sapeurs-pompiers de Rouen, excités comme des puces à l’idée de pouvoir se rincer l’œil.
Ils prirent place sur un banc situé juste en face la caserne et observèrent les mouvements de la rue dans l’espoir de revoir le beau Bastien. Malheureusement pour eux, rien ne se passa et ils se résignèrent à rentrer chez eux au bout de 30 minutes, la queue entre les jambes.

Voyant à quel point le pompier semblait plaire à son colocataire, Valentin lui proposa de retenter sa chance le lendemain, cette fois-ci dans la matinée.
Eux, qui n’avaient pas l’habitude de se lever tôt un samedi matin, firent l’effort à allèrent à nouveau se positionner en face de la caserne. Encore une fois, ils faillirent rentrer bredouille de cette expédition voyeuriste. Pourtant, après 20 minutes de disette, pensant une nouvelle fois faire face à l’échec, ils furent finalement récompensés par un spectacle des plus érotiques.
En effet, quand la porte de la caserne s’ouvrit, cinq pompiers en sortirent et prirent la direction du parc pour aller faire un footing. La plupart d’entre eux devait être âgé entre 20 et 30 ans et semblait en pleine possession de leur moyen. Si les visages étaient loin d’être accordés, certains ayant le crâne rasé, d’autres des cicatrices ou brûlures, …, tous avaient un corps sublime à faire pâlir d’envie nos deux voyeurs… Des culs rebondis bien mis en valeur par des shorts moulants, des cuisses musclées, des abdos et des dorsaux de rêve, des bras puissants et surtout, des entrejambes semblant bien fournis !

Malheureusement, malgré ce panorama des plus excitants, le jeune Bastien ne semblait pas être parmi eux… S’il en avait bien profité pour se rincer l’œil, Sacha était tout de même très déçu de ne pas avoir vu celui à qui il pensait constamment depuis la veille. Mais alors que tout espoir semblait perdu, le jeune homme sortit finalement de la caserne quelques instant après les autres. Vêtu d’un débardeur rouge et d’un short en lycra noir, il était aussi beau et excitant que dans ses souvenirs. Il n’en fallut pas plus pour que Sacha soit troublé et surtout pris d’une vive érection. Voyant sa réaction et son excitation, le blondinet compris tout de suite que c'était lui le fameux Bastien

Le trouvant aussi très à son goût et sachant pertinemment que son ami ne tenterait rien, Valentin se décida à forcer le destin. Ainsi, il se leva du banc et se dirigea vers le jeune pompier, l’empêchant ainsi de rattraper ses collègues.
Intrigué par ce garçon qui s’approchait de lui, Bastien lui demanda :

- Je peux vous aider ?

- Oui, en fait mon ami là-bas s’est fait mal, répondit le blondinet en pointant du doigt son colocataire.

Ni une, ni deux et les deux garçons prirent la direction de Sacha qui, tout émoustillé, se demandait bien ce qu’avait pu dire Valentin au beau pompier. Quand celui-ci se retrouva à son niveau et s’adressa à lui, il ne savait plus où se mettre et son visage devint rouge comme une pivoine.

- Bonjour, ton ami m’a dit que tu étais blessé. Tu peux me dire où est située la douleur ?

- Euh…. Je, …, bégaya Sacha

- Ce n’est pas une douleur, le coupa Valentin. En fait, ça le brûle de partout et comme vous êtes pompier, je me suis dit que vous pourriez nous aider.

Pas franchement convaincu par ces explications, Bastien reprit :

- Oui bien sûr, mais ou a-t-il été brûlé ? Et peut-être devrait-il plutôt aller consulter un médecin ? Je ne suis pas sûr de pouvoir faire quelque chose.

- Pour ce genre de brûlure, je suis sûr qu’il n’y a pas mieux qu’un pompier répondit le blondinet avec un sourire malicieux au coin des lèvres.

Pendant que Valentin et Bastien discutait, Sacha ne pouvait s’empêcher de regarder l’entrejambe du pompier qui semblait si grosse, même au repos.
Il aurait pu en baver tellement il avait envie de la toucher… Son regard était tellement fixé dessus qu’il ne se rendit pas compte que son coup de foudre s’adressait à lui depuis un moment déjà :

- S’il te plait Sacha, peux-tu me dire ou cela te brûle ? répéta le jeune pompier pour la troisième fois

Ces collègues soldats du feu étant déjà loin et Bastien ne pouvant plus les rejoindre, il commençait à s’agacer, ne voyant pas ou les deux garçons voulaient en venir. Finalement, devant son ami pétrifié, Valentin se résolut à tentent le tout pour le tout :

- En fait, ce que j’essaie de te dire, c’est que mon copain a le feu au cul et qu’il a juste besoin de la belle lance d’un pompier pour le soulager !

A ces mots, Bastien faillit s’étouffer avec sa salive et fut pris d’une soudaine quinte de toux. Lui qui en avait déjà vu de toutes les couleurs, ne s’attendait certainement pas à ce genre de demande... Bien qu’il trouvait les deux garçons très à son goût, il n’avait pas imaginé un seul instant que ces derniers puissent le draguer aussi ouvertement…

De son côté, Sacha était aussi surpris par l’audace de son colocataire…
Perdu pour perdu, il osa finalement faire ce qu’il mourrait d’envie de faire depuis la veille : il posa sa main sur le paquet de Bastien, en le regardant droit dans les yeux, avec un désir non dissimulé… S’il avait peur de sa réaction, il constata avec un grand soulagement que le grand brun n’esquiva aucun mouvement de recul, bien au contraire… Ainsi malaxé, sa bite se redressa en un rien de temps et forma un énorme paquet au travers du lycra. En sentant ce sexe se tendre instantanément sous ses caresses et impressionné par la dimension hors norme de l’engin, Sacha fut pris d’une envie irrépressible de le branler, de le sucer…
S’il n’avait écouté que son désir, il l’aurait pris en bouche ici-même, en plein milieu de la voie publique. Mais quand une vieille dame, passant juste auprès d’eux, leur lança un regard assassin ponctué d’insultes outrageantes, les deux garçons comprirent que c’était une très mauvaise idée.

Ainsi, Bastien conduisit les deux garçons avec lui dans la caserne, à présent totalement déserte. Une fois à l’intérieur, il ne perdit pas une seule seconde et plaqua Sacha contre un camion pour l’embrasser fougueusement. Ce dernier se laissa faire bien volontiers et répondit avec passion au baiser de son partenaire. Il n’hésita pas non plus à glisser ses mains vers le tuyau du pompier et entreprit à nouveau de le caresser et branler au travers de son short.
Après cette longue embrassade, Sacha retourna son partenaire de telle sorte que ce soit lui qui se retrouve plaquer contre le camion de pompier. Puis, après lui avoir enlever son débardeur rouge, il se lança à la découverte de son corps. Tout en continuant à malaxer son paquet, il commença par lui embrasser le cou, le torse, lui sucer les tétons, pour glisser inévitablement vers ses abdominaux bien dessinés.

Très vite, Sacha se retrouva à genoux, la tête entre les jambes de son amant, caressant et frottant son visage contre ce gros paquet. Il continua son apprivoisement en caressant et en branlant le chibre au travers du lycra.
Le grand brun était déjà très excité et la mouille qui perlait sur le short en était le signe parfait.  Ainsi, alors que Bastien gémissait son plaisir, Sacha finit par baisser cette dernière barrière de tissu, dévoilant une bite énorme, mesurant pas moins de 22 cm. En la découvrant, le garçon ne put s’empêcher de s’exclamer :

- Mais elle est monstrueuse !

En admiration devant cette bite, Sacha s’empressa de la prendre en main et commença à la branler, d’abord délicatement, en prenant soin de bien décalotter le gland, puis un peu plus rapidement, en montrant à son partenaire la grande dextérité de son poignet. Après deux minutes de branlette, le garçon se résolut à approcher son visage de l’objet de ses désirs. Après avoir lancé un regard très coquin au pompier, ses lèvres pulpeuses vinrent à la rencontre de ce bout de chair sur lequel il déposa un premier baiser, puis un deuxième, un troisième…
Baisers qui se transformèrent rapidement en coups de langue voluptueux. Bientôt sa langue experte lécha, caressa et s’enroula sensuellement autour de la queue du pompier. Avec ses douces mains, Sacha malaxait également les couilles du jeune homme, ou encore venait branler la base de son sexe… Finalement, après avoir joué longuement avec son gland, sa bouche aspira le chibre, de telle sorte que les lèvres de Sacha vinrent se coller contre le pubis de Bastien.

La fellation qui s’en suivi fut d’un érotisme incroyable. Bastien se faisait sucer comme rarement il ne l’avait été. La science et l’expérience de Sacha firent basculer le pompier dans une autre dimension. Voir mais surtout sentir cette langue experte prendre possession de son sexe était une sensation divine. Gorges profondes, va-et-vient gourmands, jeu de langues sensuels… Tout y passait ! Si Bastien prenait son pied, Valentin ne cachait pas non plus son excitation. En effet, d’abord juste voyeur, le garçon avait finalement fait glisser sa main dans son pantalon, pour caresser et branler son sexe bandé, devant le spectacle offert.

Le voyant faire, des idées lubriques en tête, le grand brun l’interpella :

- Au lieu de rester dans ton coin, vient plutôt aider ton ami ! Il y a largement de la place pour deux !

Valentin ne se fit pas prier plus longtemps et prit immédiatement place au côté de Sacha. Même si ce dernier aurait bien souhaité profiter seul de son partenaire, il se poussa volontiers pour laisser un peu de place au blondinet.
Ni une, ni deux et c’est bientôt deux bouches qui prirent possession de la bite en feu du pompier. Chacun de leur côté, les deux colocataires firent coulisser l’immense chibre entre leurs lèvres, jouant de leur langues autour de ce bout rosé, dans un ballet des plus érotiques. Ainsi, Sacha et Valentin n’hésitèrent pas à s’embrasser langoureusement autour du gland de Bastien qui prenait littéralement son pied :

- Oh putain, oh oui, sucez-moi comme ça, hummm, encore !

Hors de contrôle, le pompier entreprit des mouvements de bassin de telle sorte que sa bite entière coulisse entre les deux bouches. Ses couilles étaient tellement bouillonnante qu’une citerne entière n’aurait pas suffi à éteindre l’incendie qui brûlait en lui. Voir, mais surtout sentir ces deux beaux visages se disputer son chibre rendait Bastien totalement fou. Après quelques instants à donner des coups de reins, le grand brun décida de tester les capacités buccales du blondinet. Sans demi-mesure, il attrapa son visage entre ses mains, poussa sa queue à l’intérieur de sa bouche et se mit à le baiser, d’abord lentement puis frénétiquement comme un lapin en rut.

Voyant qu’il était également très doué pour les gorges profondes, il n’hésita pas à plaquer ses couilles contre la bouche de Valentin jusqu’à ce que dernier commence à s’étouffer, en toussant avec de la salive sortant par son nez. A ce moment seulement, il relâchait la pression pour mieux repartir ensuite. Les va-et vient étaient si puissants qu’on pouvait entendre les couilles de Bastien claquer contre le menton de Valentin, dégoulinant de bave. La scène était d’une grande bestialité. Une fois rassasié par le blondinet, Bastien entreprit de faire la même chose avec Sacha, prenant entièrement possession de lui.

A son tour, la bouche du garçon devint un simple trou dans lequel le pompier venait se soulager, lui déboitant la mâchoire à chaque va-et-vient. S’il était totalement malmené, l’étudiant semblait apprécié ce traitement car il bandait très fort. De son côté, pour ne pas rester inactif, Valentin se décida à glisser entre les jambes de son colocataire et engloutit son sexe bandé, lui procurant ainsi le même plaisir qu’il était en train de donner.

A présent, il régnait une tension sexuelle incroyable dans la caserne. Après avoir échanger plusieurs fois les rôles, Valentin et Sacha étaient à nouveau en symbiose totale autour de la bite de Bastien, en dégustant avec avidité le moindre recoin. Pourtant, cette double fellation passionnée finit par prendre fin, puisque le grand brun, sentant la jouissance monter, voulu passer à la vitesse supérieure.

A regret, il se dégagea donc de ses amants et les fit se redresser. Après un échange de baisers passionnées en trio, le jeune pompier positionna les deux garçons debout, côte à côte, les mains plaquées contre le camion de pompier et les fesses bien cambrées. Tout en s’embrassant, les charmants colocataires se firent tour à tour bouffer le cul par la langue experte de Bastien. Avec sa salive, il fit en sorte de bien lubrifier leurs trous étroits, les préparant au mieux à recevoir son imposante érection. Ce double anulingus fit couiner les deux passifs dont les gémissements n’étaient couverts que par les baisers qu’ils échangeaient. Une fois qu’il les considéra comme prêts, le grand brun se releva et alla se positionner derrière Sacha, celui qui le désirait le plus.

Tout d’abord, il cala sa queue entre la raie bien humide du garçon, la faisant coulisser avec beaucoup de sensualité. Le jeune homme voulait faire frémir de désir son partenaire, il voulait l’entendre le supplier prendre possession de son corps… Ce qui ne manqua pas d’arriver après quelques frottements entre ses deux globes :

- Oh Bastien, baise-moi maintenant, je t’en supplie, baise-moi !

Voulant jouer avec son désir, faire grandir la flamme en lui, le pompier insista encore :

- Tu veux la sentir en toi ma bite ? Dis-le-moi mon chéri !

- Oh oui, fourre-moi la chatte avec ta belle queue, éteint le feu en moi avec ta grosse lance !

Satisfait par cette réponse, Bastien positionna son gland contre le trou de Sacha, dont les fréquences cardiaque et respiratoire avaient déjà fortement augmenté. La pénétration fut lente et torride, le pompier glissant centimètre par centimètre à l’intérieur de son amant, lui embrassant le cou par la même occasion.
Une fois totalement en lui, il resta un instant immobile pour que le garçon s’habitue à ce nouveau corps étranger... Car s’il avait déjà connu de nombreuses bites, Sacha n’avait jamais été pris par un sexe d’une telle dimension. Ils restèrent un moment comme ça à s’embrasser, complètement emboîtés l’un dans l’autre. Avant de débuter sa sodomie, le pompier attendait surtout que son partenaire réclame à nouveau qu’il le baise… Ce qui arriva très rapidement :

- Prends-moi Bastien, baise-moi, je veux te sentir en moi !

Le grand brun ne se fit pas prier plus longtemps. Tout en tenant fermement Sacha par la taille, il commença par des va-et-vient lents et sensuels.
Puis ses coups de queue se firent plus abruptes, rentrant en lui d’un coup sec pour ressortir très lentement, répétant l’opération plusieurs fois.
Enfin, au bout de quelques minutes, ses coups de reins s’accélérèrent et bientôt le pompier pistonna la chatte de son partenaire avec une telle intensité que le jeune garçon ne semblait plus qu’être une marionnette à ses mains.
Si Sacha n’avait jamais été baisé de la sorte, surtout par une queue aussi grosse, il y prenait beaucoup de plaisir. D’ailleurs, ses gémissements, dont le son était parfois couvert par la bouche de Valentin, étaient si bruyants que toute la caserne aurait pu les entendre :

- Oh oui Bastien, hummm, vas-y, baise-moi, encoreeeeee...

- Oh Sacha, putain, j’adore ton p’tit cul ! dit-il en accélérant le rythme

- Oh oui, encore, hummm

Après cinq minutes à le prendre ainsi, Bastien se décida à changer de partenaire, laissant Sacha sur place, le trou bien ouvert. Se décalant légèrement vers la droite, il alla se positionner derrière Valentin pour lui faire subir le même traitement. Inutile de vous dire que le blondinet adora sentir ce chibre prendre possession de lui et lui ramoner les intestins, d’abord de manière sensuel puis beaucoup plus sauvagement, le faisant couiner de plaisir :

- Oh putain, j’adore ta grosse bite ! Défonce-moi encore ! Oh plus vite, plus fort, hummm

Seul le bruit des couilles de Bastien venant frapper ses fesses imberbes perturbait ce concerto de gémissements. Voulant être totalement possédé, les garçons changèrent de positions de telle sorte que Valentin se retrouve avec deux bites en lui : celle du pompier dans son cul et celle de Sacha dans sa bouche. Ainsi, il put se livrer totalement et faire jouir son colocataire de ses talents buccaux. A chaque coup de rein du pompier, le blondinet était propulsé en avant, sa bouche se faisant littéralement empaler par la queue de son ami. Bientôt, il fut totalement dominé se faisant baiser par derrière, le pompier lui tenant fermement les hanches, et par l’avant, Sacha lui tenant fermement le visage.

Après s’être fait bien baiser, les rôles s’inversèrent et c’est Sacha qui se retrouva avec la bite de Bastien au fond de lui et celle du blondinet au fond de sa gorge. Lui aussi savait si prendre, tellement bien que Valentin ne put se retenir de lui éjaculer dans la bouche au bout de cinq minutes de fellation gourmande.
Cela faisait maintenant plus de 30 minutes que les trois garçons baisaient ensemble et les couilles bouillonnantes ne pouvaient plus vraiment se contenir. Si Valentin déclencha ainsi les hostilités, en déversant 5 jets chauds et bien épais de son jus dans la bouche et sur le visage de son colocataire, son colocataire le rejoint rapidement, sous les coups de butoirs du pompier. Ainsi, sans même se toucher, Sacha sentit son sperme remonté et prévint son amant en couinant :

 

 

- Oh Bastien, vas-y, baise-moi plus fort, ça vient, ça vient !

Sur ces paroles, le pompier s’exécuta et ramona totalement le conduit anal de son partenaire, ne laissant aucune chance à quelconque résidu de flamme charnelle de se propager à nouveau. Il fallait éteindre l’incendie qui brûlait dans la cheminée du garçon et il s’y employait du mieux qu’il put.
Quelques secondes seulement après, il sentit le corps de son partenaire se tendre, tremblant de plaisir. Il comprit tout de suite que son amant allait venir, surtout que ce dernier cria à haute voix :

- Oh oui, oh Bastien, oh putain, ça vient, ça vient… Hummmmmmmmmm

Et sur ces gémissements très expressifs, sans même se toucher, Sacha cracha tout son foutre sur le sol de la caserne, ne semblant jamais pouvoir s’arrêter. L’éjaculation était salvatrice, expulsant toute la frustration accumulée ces dernières semaines. L’étudiant avait enfin obtenu ce qu’il voulait et il en était le plus heureux. Pourtant, il n’eut pas vraiment eu le temps de reprendre ces esprits que le pompier se dégagea de lui et présenta son sexe à sa bouche, ainsi qu’à celle du blondinet

Le voyant proche de la jouissance, Sacha et Valentin s’empressèrent de retourner sucer le grand brun, s’embrassant langoureusement autour de son chibre. Une fois encore, ils y mirent toute leur âme, attendant avec impatience que ce tuyau de pompier les arrose de cette eau bénite, elle-seule capable d’éteindre la flamme du désir.
Ils n’eurent que quelques secondes à patienter avant que le beau jeune homme se libèrent à pleine puissance dans un ultime râle de plaisir :

- Hummm oh oui, ça vient, je vais, oh je viens… Hummm

A ces gémissements, un flot continu et incontrôlé de sperme se déversera entre les deux bouches. Au fur et à mesure que cela sortait, Sacha et Valentin s’échangeaient le jus en s’embrassant. Le plaisir était tel pour Bastien qu’il n’y eut pas moins d’une dizaine de jet avant qu’il ne se retrouve à sec.
Lui aussi tremblait de plaisir, et malgré sa puissance physique, il avait bien du mal à garder l’équilibre pour ne pas s’écrouler sur le sol.

Bien que complètement vidé, ses deux amants continuèrent de le sucer pour ne laisser aucune trace de sa jouissance. C’est seulement après avoir recueilli la moindre goutte de son nectar que les deux colocataires se dégagèrent du soldat du feu, rassasié pour la journée. Mais s’ils se séparèrent finalement après une bonne douche, ils ne manquèrent pas de s’échanger leur numéro… Car à présent Sacha et Valentin n’avaient plus qu’une seule envie : pomper le pompier !

Fin

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S
Superbe comme d’habitude, avec beaucoup d’humour. Très envie de voir Sacha dans un plan à trois avec Valentin et Bastien!!!
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L
Merci beaucoup, je suis content que ce récit t'aie plu ! Effectivement, qui ne rêverait pas de voir un trio Sacha - Bastien - Valentin ?