Sam'excite

3 Octobre 2021, 14:44pm

Publié par Louis75A

Après un long moment d’absence, j’ai le plaisir de vous présenter mon nouveau récit French Twinks avec les très talentueuses dernières recrues du studio : Sam Bayard, Jordan Flament et Léo Gallay (et la participation de Valentin Meunier et Doryann Marguet). Bonne lecture !

Chez le coiffeur ou dans un ascenseur : Sam'excite

Et merde, merde, merde, se disait Sam en forçant le pas dans les rue étroites du centre de Nice, ville dans laquelle il venait d’emménager. Le jeune homme n’avait pas vu le temps passer et il avait déjà plus de 30 minutes de retard pour son rendez-vous chez le coiffeur.
Il faut dire qu’il avait passé tout l’après-midi à essayer des tenues pour savoir ce qu’il allait bien pouvoir porter à son rendez-vous du soir. En effet, ce jeune blondinet, répondant au doux prénom de Valentin et qu’il avait rencontré sur Grindr, lui faisait terriblement envie. Il ne voulait surtout pas gâcher l’occasion de passer une nuit torride en n’étant pas présentable.

En plus d’avoir fait du shopping pendant près de 3 heures, le jeune Sam avait également pris rendez-vous dans ce salon de coiffure à la mode, qu’un ami lui avait conseillé. Mais n’ayant pas fait attention à sa montre, il était maintenant affreusement en retard. C’est donc seulement à 19h05 qu’il entra dans la boutique, alors que le gérant s’apprêtait à fermer.
Essoufflé, il s’adressa à lui en se confondant d’excuses :

- Bonjour Monsieur, je suis vraiment désolé, j’avais rendez-vous à 18h30 mais j’ai été retardé, est-ce que vous pouvez toujours me prendre ?
- Vous êtes ?
- Sam ! Sam Bayard, j’avais rendez-vous à 18h30.

L’homme, un certain Doryann Marguet, alla consulter son carnet et constata effectivement que le jeune homme ne mentait pas. Pourtant, quand il redressa la tête, l’expression de son visage ne laissait rien présager de bon. Sam en eut la confirmation quand il s’adressa à lui en ces termes :

- Je suis désolé jeune homme mais je m’apprêtais à fermer.
En temps normal, j’aurai pu faire quelque chose, mais là, j’ai un dîner de prévu que je ne peux pas annuler ou retarder.
- Ah mince, je sais que c’est ma faute, mais vous ne pouvez pas juste me coiffer rien qu’un peu, j’ai un rendez-vous ce soir et…
- Je suis désolé mais ça ne va pas être possible, reprit Doryann en le coupant.
- Ok, je comprends… Merci quand même, se résigna le garçon, toujours très poli.

Bien que très déçu, Sam comprenait que cette situation était entièrement sa faute. S’il avait fait plus attention à l’heure, il n’aurait pas eu ce désagrément et il aurait pu se rendre chez le beau Valentin avec une coupe parfaite…
Mais malheureusement pour lui, il allait devoir se contenter de ses propres doigts pour arranger sa tignasse. Il se dirigea donc vers la sortie, la queue entre les jambes. Mais alors qu’il venait à peine de franchir la porte, une douce voix se fit entendre :

- Je peux m’en occuper Monsieur Marguet si vous me le permettez !

En entendant ces mots, Sam se retourna et découvrit un jeune employé qui balayait les cheveux dans le fond du salon de coiffure. Dissimulé dans l’ombre de son patron, il ne l’avait jusqu’à présent pas remarqué. Pourtant, maintenant qu’il l’avait sous ses yeux, Sam ne put s’empêcher de penser que ce garçon avait un physique très avantageux et était loin de le laisser indifférent. Mais il n’eut pas le temps de le détailler que le gérant s’adressa à lui :

- Jordan, tu es un très bon apprenti, mais je ne peux te laisser seul ici.
Ce n’est pas que je n’ai pas confiance en toi, au contraire… Mais rien que pour une question d’assurance, je n’ai pas le droit de te laisser fermer le salon avec la caisse à l’intérieur. S’il arrivait quelque chose, tout serait ma faute.
- D’accord Monsieur, se contenta de répondre Jordan, très obéissant.

Pourtant, une brèche avait été ouverte et Sam, très malin, tenta de s’y engouffrer. Il sentait bien que le gérant pouvait maintenant se laisser convaincre et il tenta donc sa chance :

- Mais si je paye maintenant et que vous récupérez la caisse avant de partir, votre apprenti pourrait me coiffer et fermer le salon sans problème ?
- Je…

Cette fois-ci c’est Doryann qui fut coupé par son employé :

- Je vous promets que je ferais attention Monsieur Marguet. Et puis, dès que j'ai fini, je vous appelle et vous envoie une photo du salon fermé. Et je déposerai les clés là ou vous avez l’habitude de les mettre.

Devant l’insistance de son client et de son employé, le gérant hésita longuement et finit par se résigner :

- Ok, c’est d’accord, mais je veux que le salon soit fermé avant 20h00. Et surtout Jordan, appelle-moi si tu as le moindre soucis.
- Très bien Monsieur Marguet, ne vous inquiétez pas, je ferais très attention.
- Merci monsieur, reprit Sam à son tour.

Sur ces paroles, Doryann encaissa son dernier client et récupéra la recette de la journée. Il fit un dernier sermon à Jordan et quitta les lieux dans la précipitation. Sam se retrouvait maintenant en tête à tête avec le bel apprenti. Les deux garçons ne manquèrent pas de se dévisager et de s’échanger un beau sourire.
A ce moment précis, chacun d'entre eux ressentit cette petite flamme intérieure qui leur disait que rien n’était impossible.
Après quelques secondes de silence, un peu embarrassante, Jordan emmena Sam dans le coin shampoing du salon pour lui laver les cheveux. Il commença par récupérer sa veste et la ranger dans le dressing room. Puis, il lui passa une blouse de coiffure. Un peu confus, Sam s’emmêla les pinceaux et eut tout le mal du monde à passer le bon bras dans le bon trou. La scène était assez drôle, puisque de son côté Jordan ne faisait pas mieux, lui aussi perturbé par la beauté de son client… Si bien qu’ils finirent par en rigoler ensemble et s’exclamer lorsque l’opération fut achevée avec succès.

Le jeune apprenti fit ensuite installé Sam sur son siège et lui demanda d’abord si la température de l’eau lui convenait. Une fois la chose faite, il lui rinça les cheveux, pris une once de shampoing et commença à lui masser délicatement le crâne. En sentant ses douces mains lui caresser le cuir chevelu, le jeune étudiant comprit tout de suite que Jordan était très doué avec ses mains. La sensation était tellement agréable qu’il en oublia presque ou il était. C’était bien la première fois qu’il éprouvait autant de plaisir à se faire shampouiner !
Et indéniablement, comme à chaque fois que Sam se sentait bien, il se mit à bander… Heureusement pour lui, son érection était dissimulée sous sa blouse et donc invisible à l’œil nu, enfin sauf à un œil expert comme celui de Jordan !

En voyant la légère bosse se dessiner, l'apprenti commença à penser qu’il avait vraiment bien fait d’insister auprès de son patron. En effet, dès qu’il avait aperçu le jeune homme dans le salon, il avait éprouvé le besoin d’en savoir plus sur lui… Et quoi de mieux pour apprendre à le connaître que de s’occuper de ses cheveux ? C’est pour cela qu’il avait autant insisté auprès de Doryann pour le coiffer. Nul doute qu’il n’aurait pas réagi de la même façon devant une femme ou un homme peu ragoutant. Après tout, lui aussi avait des plans en ce samedi soir et, en d’autres occasions, il aurait été bien mieux avec ses amis qu’à travailler.

A présent, le jeune coiffeur avait de nouveaux objectifs ! Il faut dire qu’il avait vraiment de quoi être excité tant Sam avait un physique très avantageux.
Du haut de ses 18 ans et de son mètre soixante-dix, le garçon aux cheveux châtains avait de très beaux yeux bleus verts et un sourire absolument divin, venant ornés un visage encore adolescent.
Bien qu’il ne pût encore l’admirer, son corps aussi était une ode au désir. Son torse imberbe finement musclé, ses belles jambes, ses fesses légèrement bombées, aucun homme gay de ce monde n’aurait pu résister à passer une nuit torride avec le jeune homme. D’ailleurs Sam non plus ne pouvait résister à ce genre de délicieux moments… Car sous airs innocents et angéliques, le garçon avait le diable au corps et ne perdait jamais une occasion de se faire plaisir.
En effet, malgré son jeune âge, il n’en était pas à son coup d’essai et nombreux étaient ceux qui avaient atterri dans son lit… Jordan espérait maintenant être de ceux-là !

Ce qu’il ne savait pas quand il l’avait vu entrer dans le salon, c’est que Sam était effectivement gay et qu’il le trouvait également très à son goût. Mais qui ne serait pas conquis devant le physique du bel adonis ? Le jeune apprenti coiffeur était en effet ce que l’on pourrait qualifier de « canon » ou encore de « bombe sexuelle ». Du haut de son mètre quatre-vingt-un, Jordan avait un corps absolument sublime, finement dessiné. Sa peau lisse était un appel aux caresses, ses jambes étaient fines et élancées, ses fesses : parmi les plus belles collines de France… Quant à son visage, il était illuminé par un sourire charmeur qui pouvait déstabiliser n’importe qui, Sam le premier. Pourtant, malgré sa beauté, Jordan restait un garçon timide, pas encore sûr de ses forces. Il était rare qu’il fasse le premier pas… Mais devant son client du soir, il sentait qu’il ne devait pas laisser passer l’occasion !

Après avoir terminé le shampoing, Jordan installa Sam dans la partie centrale du salon et lui demanda quelle coupe il aimerait avoir. Sachant déjà ce qu’il voulait, le garçon montra une photo sur son téléphone portable et la question fut réglée.
En même temps que les premiers coups de ciseaux furent donnés, les deux garçons firent connaissance. L’apprenti coiffeur apprit ainsi que son client était un jeune étudiant en première année d’économie à l’Université mais aussi qu’il était un sportif assidu, ce qui accentua encore plus son intérêt pour lui. Plus la discussion avançait et plus il trouvait Sam à son goût. Non seulement il était beau mais il était aussi très naturel, drôle, gentil et toujours à l’écoute… En quelque sorte, le garçon dont il avait toujours rêvé ! Finalement, alors que la coupe touchait presque à sa fin, la conversation dériva sur des sujets un peu plus personnels :

- Du coup, tu as un rendez-vous galant ce soir à ce que j’ai cru comprendre ? demanda Jordan.
- Oui c’est ça, et je ne voulais pas y aller dans cet état-là, avec mes cheveux qui partaient en couille.
- Oh ça aillait, j’ai vu bien pire ! Mais ne t’inquiète pas, je vais faire en sorte que ta copine ou future copine ne trouve rien à redire à ta coiffure.
- Bien que je trouve que tu fais du très bon travail, je doute que tu n’y parviennes…
- Et pourquoi ? s’étonna Jordan
- Ah, et bien tout simplement parce que je ne sors pas avec une fille ce soir mais avec un mec, répondit naturellement Sam.

S’il avait des doutes quant à l’homosexualité de son client, notamment par rapport à cette érection qui avait déformé sa blouse durant le shampoing, cette annonce fit un peu l’effet d’une bombe et déstabilisa l’apprenti coiffeur quelques secondes. Ne voulant pas qu’un petit malaise s’installe, il chercha à répondre rapidement.
Mais la seule chose qui lui vint à l’esprit fut la phrase suivante :

- Eh bien, il a bien de la chance ce garçon, je trouve.

Un nouveau silence s’installa et cette fois-ci c’est Sam qui ne sut que répondre.
Il finit cependant par dire simplement :

- Euh merci, c’est gentil.

Grâce au miroir placé juste devant lui, il ne put s’empêcher de remarquer la belle bosse qui se dessinait maintenant au niveau de l’entre-jambe de son coiffeur.
En effet, elle était bien visible sous ce joli pantalon de costume noir, très moulant. Elle laissait présager de très belle disposition quant à l’engin qui sa cachait en-dessous… Cette vision accentua l’excitation de Sam et sa propre queue tressauta d’envie sous son boxer.
A partir de là, plus aucun mot ne fut échangé. La coupe était maintenant terminée et Jordan peaufinait encore quelques détails. Après lui avoir montré l’arrière de sa tête à l’aide d’un miroir à main, le jeune apprenti prit un peu de cire et coiffa son client avec beaucoup de délicatesse. La tension sexuelle qui régnait dans le salon était maintenant à son comble. Une fois Sam coiffé, le beau blond lui retira sa blouse et son regard se porta immédiatement sur la bosse qui déformait son pantalon. Sam vit bien ce que le jeune homme regardait et il avait aussi déjà compris que cela lui plaisait.

Les deux garçons se faisaient maintenant face mais aucun d’entre eux ne fit le premier geste. Pourtant, chacun d’entre eux voyait bien à quel point ils étaient excités. Finalement, après avoir longuement hésité, Jordan partit ranger la blouse de son client. Ce dernier ne put s’empêcher de mater son joli petit cul qui lui faisait terriblement envie. Il dût même remettre sa queue en place, tellement elle était à l’étroit dans son boxer.

Quand il revint, le blondinet tendit la veste au jeune homme, non pas sans lui effleurer la main au passage. Ce contact l’électrisa et, envahit par une folle envie de baiser, il décida d’envoyer valser sa timidité. Ainsi, pris de cette pulsion bestiale, il plaqua sa main sur le paquet de Sam et il commença à le malaxer avec envie, en le regardant droit dans les yeux.
Le garçon fut surpris par cette prise d’initiative mais ne fut pas mécontent de l’audace de son coiffeur. Les deux garçons étaient maintenant très proches l’un de l’autre et ils étaient prêt à s’embrasser. Pourtant Jordan avait littéralement le feu au cul et, tout en déboutonnant et baissant le pantalon de Sam, il lui susurra à l’oreille :

- Prend-moi maintenant, baise-moi !

Surpris par ces paroles, le jeune homme fut un peu décontenancé. Mais il n’eut pas vraiment le temps de réfléchir que son pantalon et son boxer était déjà au sol, sa bite apprivoisée par les mains de son nouvel amant. Tout en la branlant délicatement, Jordan la regarda avec envie. S’il n’avait pas été pris d’une irrésistible envie de se faire ramoner le cul, il l’aurait pris en bouche sur le champ. Mais comme le feu brulait en lui, il préféra baisser son propre pantalon et se mettre en position pour offrir ses fesses à son client.

Le jeune coiffeur était maintenant positionné debout, contre le tiroir-caisse, les fesses bien cambrées, attendant sagement de se faire baiser. Le beau blond portait un jockstrap bleu permettant à son cul d’être bien aéré mais surtout d’être prêt à l’emploi. D’ailleurs, toujours aussi excité, il ne manqua pas de réitérer sa demande auprès de Sam :

- J’ai envie de sentir ta bite en moi mon chéri… S’il te plait, ne me fait pas attendre plus longtemps !

En entendant ces mots et surtout en voyant ce sublime cul s’offrir à lui, le jeune étudiant ne put se résoudre à autre chose que de répondre favorablement à cette demande. Il allait se mettre à poil quand il remarqua, à juste titre, que la vitrine du salon de coiffure permettait à chaque passant de la rue d’admirer la scène. Dans le feu de l’action, aucun des deux protagonistes n’avaient réfléchi à ce détail… Non pas que Sam n’avait pas envie de s’exhiber, mais il ne voulait pas que son nouvel ami puisse avoir des ennuis. Il lui dit alors :

- Peut-être qu’on devrait baisser le store avant de…

Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase que Jordan appuya sur un bouton proche du tiroir-caisse et les volets de la boutique commencèrent à tomber.
Une fois l’opération terminée, il reprit :

- Voilà, maintenant tu peux venir me baiser !

Ni une, ni deux et Sam enleva tous ses vêtements pour se retrouver nu en plein milieu du salon de coiffure, maintenant tamisé par une lumière orangée.
La queue en main, il s’approcha de son coiffeur et positionna son gland contre le joli petit trou. Ce contact eut pour conséquence de faire ronronner son amant qui n’attendait plus qu’une chose : le sentir en lui.

Pourtant, Sam préféra jouer un moment avec son désir, faisant coulisser son sexe entre entre sa raie, en mimant la pénétration. Au bout d’un moment, l’apprenti coiffeur commença à lui-même remuer son cul, de telle sorte que la queue de Sam se retrouve branlée contre ses fesses. Pris à son propre piège, l’étudiant se sentit pris d’une profonde envie de baiser son amant. Il prit alors un spray pour humidifier les cheveux, posé sur une table à proximité, et il aspergea le cul de Jordan pour le préparer un minimum. Puis, il positionna son gland contre le trou offert devant lui et il poussa sans s’arrêter jusqu’à se retrouver plonger entièrement dans le beau blond.

Durant cette première pénétration, les deux garçons se mirent à gémir de concert, extériorisant tout le plaisir qu’ils ressentaient. Sam n’eut pas le temps de s’habituer à cet environnement chaud et humide que Jordan commença à remuer ses fesses, dictant lui-même sa propre sodomie. L’apprenti coiffeur était en trans et il dansait littéralement sur la bite de son partenaire. Sam n’avait pas le moindre effort à faire que sa queue était entièrement aspirée puis relâché à un rythme effréné. Il était subjugué par la soif de sexe de son amant qui couinait à haute voix à chaque fois qu’il s’empalait sur lui :

- Oh humm, oh oui, j’adore ta bite !
- Et moi j’adore ton cul !
- Alors montre-le moi, reprit Jordan en stoppant ses mouvements.

Ni une, ni deux et Sam prit le relais. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne fit pas dans la dentelle tant il pistonna le cul de son partenaire avec fougue.
Ses couilles, bien remplies, venaient claquer contre les fesses de Jordan toutes les secondes dans un bruit sourd que seuls les gémissements du beau blond venaient couvrir. Les stylos et les feuilles posés sur le comptoir tombèrent au sol, le tiroir-caisse tremblait à chaque coup de butoir… L’intensité et la bestialité de l’accouplement était absolument torride. Jamais l’apprenti coiffeur n’avait été baisé de la sorte. Son partenaire était jeune mais il était sacrément doué avec son engin de 17 cm, bien plus que tous les autres qui étaient passés dans son cul. Jordan était tellement excité que, sans même se toucher, il humidifiait son jockstrap de précum. On pouvait ainsi admirer une belle tâche de mouille sur le sous-vêtement toujours déformé par une belle érection.

Après cinq minutes passé dans cette position, Sam alla s’installer sur le même siège que celui où il avait été coiffé. En le voyant l’attendre, la bite au garde-à-vous, son amant ne perdit pas une seconde de plus et alla le chevaucher comme un étalon sauvage. A nouveau, c’est le jeune coiffeur qui dicta le mouvement, laissant l’étudiant admiré son déhanché. Après quelques va-et-vient sensuels, Jordan se mit danser et à remuer ses fesses de façon très érotique, alors même que la queue de Sam était enfoncée en lui bien profondément. Le jeune coiffeur couinait de plus en plus fort :

- Oh oui, oh putain Sam, j’adore ta grosse bite !

Flatté par tous ces compliments, le garçon reprit les choses en main et se mit à donner des coups de reins d’abord très lents, puis de plus en plus rapprochés, donnant à Jordan tout ce qu’il voulait. Plus il se faisait baiser et plus la tâche de mouille sur son jockstrap grossissait. Voyant cela, Sam vint poser sa main dessus et commença à le caresser au travers du sous-vêtement. Ce doux contact conjugué aux coups de bites qui lui pistonnait à nouveau le cul firent défaillir le beau blond. Alors que son souffle s’accélérait et que ses gémissements se firent de plus en plus rapprochés, il s’écria :

- Oh oui, oh putain, Sam baise-moi plus vite ! Oh putain, oh Sam, Sammmm, Sammm ’excite !
- Tu la veux encore ma bite, hein, tu l’aimes ?
- Oh oui, je l’adore, oh oui, hummmmmmmmmm

Et sur ce dernier gémissement, Jordan éjacula tout son foutre à l’intérieur de son jockstrap, venant humidifier chaque recoin de l’avant du tissu. Voyant cela, son partenaire accéléra encore la cadence, de telle sorte que le jeune apprenti éjacule tout le sperme qui était stocké au fond de ses couilles. Jamais le blondinet n’avait connu un tel orgasme anal ! D’ailleurs, sous le coup de la jouissance, son corps se mit à trembler, à vibrer, si bien qu’il failli en être déséquilibré.

Le jeune apprenti mis quelques instants à retrouver ses esprits, alors que la bite de Sam lui ravageait toujours les intestins. Pourtant, le garçon décida de stopper son partenaire pour lui montrer un autre de ses talents : les gorges profondes. Ainsi, un peu à contre-cœur, il se redressa et vint se positionner à genoux, la tête plongée entre les jambes de son amant. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que Jordan se retrouve les lèvres collées contre le pubis de Sam, avec toute son imposante queue plantée au fond de sa gorge. Le bel étudiant compris qu’il avait à faire un expert et ne tarda pas à plonger au pays des merveilles. La fellation qu’il était en train de recevoir était tout bonnement la meilleure qu’il n’avait jamais reçu. Les moindres recoins de ses 17 cm étaient choyés, chouchoutés, léchés, sucés avec passion. Il adorait voir le beau blond l’embouché complètement, puis faire glisser lentement ses lèvres le long de sa bite pour venir jouer avec sa langue sur son gland. La sensation était divine et il ne manqua pas de le faire savoir :

- Oh Jordan, tu suces trop bien ! Oh putain oui, continue comme ça, c’est trop bon, hummm !

Encouragé par ces mots, le garçon redoubla d’efforts et démultiplia les gorges profondes, restant par moment le visage plaqué contre le pubis de Sam une vingtaine de secondes. On peut dire qu’il maitrisait cet art à la perfection, respirant profondément par le nez, pendant que sa bouche et sa langue s’occupait de l’imposant morceau de chair coincé à l’intérieur.
Après 5 minutes passées à exposer sa science de la fellation, Jordan voulut en finir et demanda avec autorité :

- Maintenant à ton tour ! Baise-moi la bouche mon chéri !

Prêt à défaillir à tout instant, Sam ne se fit pas prier et prit la tête de son bienfaiteur entre ses mains. Il commença alors à lui baiser la gueule à un rythme effréné, ne se souciant que de son plaisir. Plus question de retenu, il savait qu’il faisait cela pour lui jouir dans la bouche. Il n’y alla donc pas avec le dos de la cuillère, faisant coulisser son sexe entre les lèvres de Jordan à toute vitesse. Parfois, après avoir poussé son gland tout au fond de la gorge du beau blond, il lui maintenait la tête avec ses mains, ne relâchant la pression qu’une fois que son partenaire commençait à toussoter. Il fit cela pendant quelques minutes, jusqu’à ce qu’il sente enfin la délivrance approchée :

- Oh putain Jordan, ça vient, oh je vais jouir…

Sam se retira alors et se branla énergiquement au-dessus du visage du bel apprenti. Ce dernier avait la bouche grande ouverte et tirait la langue dans l’attente de recevoir ce délicieux nectar. Il n’eut pas longtemps à patienter avant de voir un puissant premier jet venir lui tapisser la langue. S’en suivirent de nombreuses autres giclées qui lui recouvrirent le visage : les yeux, les joues, le nez, les lèvres... Il y en avait tellement que bientôt son visage ressemblait à un grand verre de lait. Le beau blond récupérait tout ce qu’il pouvait avec sa langue et se régalait ainsi de cette cuvée foutrement appétissante.
De son côté Sam était complétement dévasté par son orgasme. Des jouissances comme celle-ci, il les comptait sur les doigts de la main. Il ne regrettait pas d’être venu chez le coiffeur et n’allait pas manquer de remercier son ami qui lui avait conseillé cette adresse.

Après avoir repris leurs esprits, les deux garçons finirent par se relever.
En voyant l’heure qu’il était, Sam compris qu’il était déjà affreusement en retard à son rendez-vous. Il s’empressa d’envoyer un message au beau Valentin pour s’excuser et lui dire qu’il ne pourrait être là dans les temps. Il se rhabilla en vitesse et remercia Jordan pour le délicieux moment qu’il avait passé en sa compagnie. Les deux garçons s’échangèrent leur numéro de téléphone et promirent de se revoir très rapidement. Ainsi, après un dernier échange de regard, le bel étudiant quitta précipitamment le salon de coiffure, laissant son nouvel ami se débarbouiller le visage et fermer boutique.

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Il était déjà près de 21h00 quand Sam se présenta devant le devanture de cet immeuble assez ancien du sud de la ville. Après son escapade coquine chez le coiffeur, il était repassé chez lui pour prendre une douche et se changer. Maintenant vêtu d’un pantalon beige slim et d’une chemise bleu marine bien ajustée, il était tout à fait prêt pour son rendez-vous galant.
Une fois devant l’interphone, il tapa le code que lui avait gentiment envoyé Valentin et rentra dans le bâtiment. Il hésita à prendre l’escalier mais comme l’appartement était au cinquième étage, il opta plutôt pour l’ascenseur.
Il l’attendit quelques instants et entra seul à l’intérieur.

Alors que les portes allaient se refermer, un jeune homme d’une vingtaine d’année à peine se glissa avec lui. Sam ne put s’empêcher de se faire la réflexion qu’il était très mignon. En le voyant le fixer, le garçon lui sourit et le salua poliment :

- Bonjour
- Bonjour, tu vas à quel étage ? demanda Sam qui était placé juste à côté des boutons.
- Au neuvième.

Sam appuya sur le bouton et ils commencèrent leur ascension dans un silence de plomb. Si les deux garçons échangèrent quelques regards et sourires, aucun d’entre eux n’osa lancer la conversation. Pourtant, sans le savoir, ils allaient y être contraint car, une fois arrivé au cinquième étage, l’ascenseur se bloqua, après une légère secousse qui fit sursauter ses deux occupants.
Une fois la surprise passée, l’un comme l’autre compris que ce n’était pas normal et, pris de panique, ils appuyèrent sur tous les boutons dans l’espoir de faire redémarrer l’ascenseur ou d’en ouvrir les portes… Mais ce fut sans succès et ils durent se résigner à appeler le service dépannage à l’aide du bouton associé.
Il fallu quelques instants avant qu’on leur réponde. La société de maintenance les informa qu’ils envoyaient quelqu’un pour les dépanner mais que cela prendrait surement entre 30 minutes et une heure avant qu’ils ne soient délivrés de cette boite de conserve géante.

Sam et son compagnon d’infortune se résignèrent et s’assirent chacun dans leur coin, téléphone portable à la main. Notre bel étudiant s’empressa d’informer son rendez-vous du soir qu’il allait encore devoir l’attendre puisqu’il était bloqué dans l’ascenseur de son immeuble. Le jeune Valentin ne sembla pas s’en offusquer et lui fit comprendre qu’il avait encore très envie de le voir. Les deux garçons passèrent 5 minutes à discuter sur messagerie avant que Sam ne finisse pas redresser la tête. C’est à ce moment-là qu’il commença à discuter et à faire connaissance avec le garçon piégé à ses côtés.
Ainsi, il apprit qu’il s’appelait Léo et que, tout comme lui, il avait 18 ans.
Le jeune homme étudiait la psychologie à l’Université de Nîmes et était de passage à Nice pour aller voir des amis. Plus le temps passait et plus Sam appréciait son nouvel ami. Mais au-delà de ça, il le trouvait également très à son goût. En effet, le beau Léo avait un physique très avantageux. Il devait mesurer dans les 1m80 et son corps svelte était matière à tous les fantasmes. Son visage lisse était orné de cheveux bruns mi-longs et de beaux yeux bleus qui lui donnaient une profondeur de regard envoutante. Si bien que Sam finit par s’y perdre plus d’une fois pendant leur discussion.

Mais il n’était pas le seul à être troublé puisque, de son côté, Léo aussi était sous le charme de son compère. D’ailleurs, c’est lui qui commença à le sonder subtilement sur de possibles goûts communs :

- Tu habites ici ? demanda-t-il.
- Non, j’avais un rendez-vous et…
- Un rendez-vous galant ?
- Ouais… Mais j’ai déjà plus d’une heure de retard...
- Elle ne va pas être contente et pas sûr que tu puisses aller jusqu’au bout avec elle… Si tu vois ce que je veux dire, répondit Léo avec une allusion à peine cachée à « la chose ».
- Oh, non ça va, il est cool et le prend plutôt bien, reprit Sam en insistant bien sur le « Il »
- Ah c’est un mec alors, ça va… dit Léo avec un grand sourire de soulagement.
- Ouais et puis avec un mec, au moins on se prend moins la tête sur ces choses-là et puis on a toujours les mêmes envies…

Sur ces paroles dévoilant pleinement ses intentions futures, Léo se mit à rigoler à pleines dents... Un rire qui intrigua son interlocuteur :

- Pourquoi tu rigoles comme ça ? demanda Sam
- Non pour rien…
- Mais si, dis-moi ! insista le garçon
- Non c’est juste que j’ai toujours fantasmé de me faire baiser par un beau mec dans un ascenseur et que là je me retrouve avec un beau mec gay dans un ascenseur…

Cette dernière phrase de Léo, non équivoque, plongea la discussion dans un nouveau silence. Pourtant, quand il vit la bosse se dessiner au travers de son pantalon beige, Léo compris qu’il avait gagné la partie et que ce beau gosse allait finir à l’intérieur de lui. Il se releva alors et vint s’assoir à côté de Sam, qui n’en revenait pas de se faire draguer de la sorte pour la deuxième fois de la soirée. L’étudiant en psychologie n’y alla pas par quatre chemin et posa directement sa main sur le gros paquet de son camarade. Tout en le caressant, il rapprocha son visage du sien et bientôt ses lèvres vinrent se poser contre les siennes pour échanger un baiser passionné.

Cette fois-ci les hostilités étaient lancées et Sam allait baiser pour la deuxième fois en deux heures, alors même que ses couilles avaient été copieusement vidées par le beau Jordan… Car face à la beauté et à la fougue de Léo, il était totalement démuni de toute volonté et ne pouvait rien faire d’autre que de répondre à l’appel du plaisir.

Après ce long baisé langoureux, Léo passa la vitesse supérieur et déboutonna le pantalon de son partenaire. Très vite, il le fit glisser sur ses chevilles avant de plonger sa tête contre la belle bosse de Sam, encore dissimulée par le boxer blanc qu’il portait. Léo commença par renifler la douce odeur de ce chibre et vint le lécher à travers le tissu. Après l’avoir ardemment caressé, il abaissa le sous-vêtement et prit le chibre en main pour le branler délicatement, les yeux rivés sur ce morceau de chair. Trop appétissant, il ne put se retenir plus longtemps et le prit au fond de sa gorge, pour montrer à son amant à quel point il savait y faire avec une bite en bouche.

Encore une fois, Sam fut transporté au septième ciel par l’expertise de son nouveau camarade de baise. C’était le deuxième qui le suçait de la soirée et c’était le deuxième à être aussi doué : gorges profondes, douces caresses buccales, va-et-vient tantôt sensuels, tantôt gourmands… Tout y passait ! Si Léo ne savait pas si bien varier le rythme et ressentir les sensations de son partenaire, il aurait pu jouir en moins de 5 minutes…

Mais ce n’est pas ce qu’ils voulaient, ni l’un, ni l’autre. En effet, après avoir montré tout l’étendue de son talent de suceur, Léo passa à l’étape suivante en se déshabillant totalement pour offrir son cul à son partenaire. A quatre pattes dans l’ascenseur, le garçon remuait les fesses dans l’attente de pouvoir être contenté. Lui non plus n’eut pas longtemps à attendre avant de sentir une langue bien chaude venir lui titiller l’anus. Ce doux contact l’électrisa et il se mit déjà à gémir bruyamment. Pendant près de 5 minutes, le beau brun se fit bouffer le cul, branler et sucer la bite par la bouche et les mains expertes de Sam.
Puis, totalement en chaleur, il réclama à haute-voix :

- Baise-moi maintenant Sam, je veux te sentir en moi ! Baise-moi !

Ne portant plus que sa chemise, le garçon vint se positionner derrière lui et posa sa queue contre son anus. Il n’eut pas beaucoup d’effort à faire pour plonger complètement à l’intérieur de son cul. En effet, grâce à son travail préparatoire très abouti, Léo était déjà très dilaté. La sodomie qui s’en suivit n’en fut que meilleure. Tout d’abord, Sam commença par de profonds et lents va-et-vient, faisant entrer d’un coup sec sa bite au fond de son partenaire avant de se retirer lentement et de réitérer l’opération. Puis, les coups de queues se firent plus rapprochés avant que Sam ne se livre à un véritable assaut ravageur faisant littéralement couiner de plaisir son partenaire :

- Oh oui, Oh Sam vas-y encore c’est trop bon !

Encouragé de la sorte, le jeune homme continua son pistonnage, faisant trembler et bouger l'ascenseur à chaque coup de butoir. Il dut même calmer ses ardeurs quand il sentit une nouvelle secousse. Il en profita pour changer de position. Il se coucha sur le dos, en plein milieu de l’ascenseur, pour que Léo puisse le chevaucher… Ce que ce dernier ne manqua pas de faire. Ainsi, il s’empala sur la bite de Sam tout en se branlant vigoureusement. D’abord face à lui, se faisant déboiter comme rarement, il se retourna ensuite pour que Sam ait une pleine vision sur ses fesses.
Au bout de quelques minutes à se faire enculer de la sorte, le garçon ne put contenir son plaisir et, dans un ultime va-et-vient, il éjacula tout son foutre sur le sol, dans un cri de plaisir intense. Une fois la chose faite, il se retira et demanda à Sam de se redresser pour qu’il puisse venir le pomper et surtout lui vider les couilles…

Alors même que Léo suçait goulument la queue de Sam, l’ascenseur se débloqua automatiquement, sans même l'intervention du réparateur. Les portes s’ouvrirent instantanément devant un Valentin subjugué par le spectacle qu’il avait sous les yeux. Ce dernier, inquiet de ne pas avoir de réponses à ces derniers messages, s’était rendu devant la porte pour voir s’il entendait quelque chose. Quand il vit Sam ainsi, se faire sucer par un inconnu, il se dit qu’il avait eu grand tort de s’inquiéter. Il ne manqua pas également de remarquer les traces de spermes qui jonchaient le sol, synonyme que le premier d’entre eux avait déjà bien pris son pied.
Sachant pertinemment qu’il se retrouvait dans une situation trop confuse, Sam n’eut pas la force de demander à Léo d’arrêter son affaire. Il faut dire que sa fellation était tellement divine qu’il ne pouvait se résoudre à la stopper. Mais alors qu’il pensait se faire copieusement insulter par son date du soir, il fut encore une fois très surpris par la tournure que prirent les événements.

En effet, au lieu de l’envoyer chier et rentrer chez lui, Valentin, ce magnifique blond aux yeux bleus-verts vint se mettre à genoux aux côtés de Léo pour sucer le beau Sam. Ce dernier n’en revenait pas et avait maintenant deux magnifiques garçons qui le suçaient. Cette vision de ces deux têtes se mouvant sur sa queue, conjuguée à la sensation des ces deux bouches et de ces deux langues qui parcouraient, léchaient et suçaient les moindre recoins de sa bite, le rendirent fou de désir. Dans ses fantasmes les plus fous, il n’avait pas rêvé vivre une telle chose, une telle journée ou pas moins de trois canons étaient tombés sous son charme et avaient choyés son chibre comme personne ne l’avait fait avant.

A présent, Valentin et Léo s’embrassaient goulument autour du gland de Sam, tout en caressant ses couilles et en branlant sa bite en même temps. Le jeune garçon en extase était déjà proche du point de non-retour. Chacun leur tour, les deux suceurs aspirèrent sa queue jusqu’au fond de leur gorge avant de reprendre leur baiser autour de bout rosé, mouillé de précum. Cette fois-ci, la sensation des deux langues s’entremêlant autour de son gland fut trop forte et Sam annonça la couleur à ses partenaires :

- Oh putain oui, oh c’est trop bon, ça vient, oh, hummmmmmmmmm…

Et sur ce dernier gémissement, sa bite cracha cinq long et épais jets de spermes blancs que Léo et Valentin se partagèrent dans un baiser très sensuel.
Après avoir retrouvé leurs esprits, ils partirent ensuite tous les trois dans l’appartement du joli blond pour une nuit des plus torrides.

Mais une chose est certaine, que ce soit pour Jordan, pour Léo, pour Valentin ou pour tout autre : Sam excite !

Fin